DEBBIE DOES DALLAS

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Dans une petite ville universitaire du Texas, la pulpeuse Debbie a gagné un concours de danse acrobatique qui va lui permettre de faire partie des Dallas Cowboys Cheerleaders, les mascottes de l'équipe de foot de Dallas. Seul petit problème elle n'a pas le premier dollar pour s'y rendre. Par solidarité, ses copines, pom pom girls comme elle, décident de trouver des petits jobs pour l'aider à payer son voyage. Comme ça ne marche pas trop fort, elles réalisent que le fait de monnayer leurs charmes leur rapportera beaucoup plus et beaucoup plus rapidement.
C'est sur ce scénario un rien faiblard que repose un film aussi connu aux Etats-Unis que Deep throat et qui a été outre-atlantique une des plus grosse vente de vidéo de l'époque.
Film de campus, Debbie does Dallas nous présente un éventail de jeunes beautés toutes sexy et craquantes qui font preuve d'une imagination et d'une bonne volonté qui font plaisir à voir. Loin des stéréotypes physiques tels qu'ils sont déclinés aujourd'hui en provenance des pays de l'Est ou de la Silicone valley, les jeunes filles qui défilent dans ce hard de qualité ont toutes une personnalité unique.
Si, lorsque vous regardiez un reportage sur le super bowl à la télé vous vous êtes surpris à rêver à ce qu'il pouvait bien y avoir sous les jupes des pom pom girls, Debbie does Dallas est là pour répondre à toutes vos questions.

 
Dans le même genre vous pouvez trouver CAMPUS CAPERS ou encore PIRANHAS .

A l'époque où ce film a été tourné, 1978 pour être précis, il faut dire que les Dallas Cowboys Cheerleaders était le spectacle le plus chaud et le plus sexy auquel on pouvait assister sur un stade américain. Les résultats de l'équipe de football comptaient moins que la troupe de pom pom girls qui les soutenait. Il était donc tout à fait normal que le porno business s'intéresse au phénomène.
Bambi Woods, l'héroïne du film présente une particularité. Outre le fait qu'elle a de faux airs d'une célèbre tenniswoman française, la carrure athlétique en moins, elle n'a joué que dans les trois premiers opus de la saga des Debbie. On ne l'a jamais revue dans aucun autre film. Déception. Les autres jeunes filles du casting ont toutes le point commun d'être 100% naturelles. Et je ne parle pas seulement du point de vue de la chirurgie esthétique qui a fait des ravages depuis mais aussi de leur comportement durant les scènes de sexe. Le film fut un tel succès qu'il engendra une kyrielle de séquelles et que l'on peut compter aujourd'hui au moins un bonne dizaine de longs métrages comportant ce titre avec des castings chaque fois renouvelés.
Il y a eu également des déclinaisons (ou spin off comme disent nos amis anglo-saxons) tels que Debbie does Wall Street ou Grandma does Dallas.
Eric Edwards, l'homme marié qui initie la jeune vendeuse de bougies aux joies du triolisme avec son épouse, a à son actif trois bonnes centaines de longs métrages comme acteur. Il devint aux environs de 1985 un réalisateur de X à la carrière prolifique. Bel exemple de longévité dans cette profession où brillent plutôt les étoiles filantes.