DADDY COOL

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Il ne faut pas confondre Daddy Cool de Maya Forbes et Daddy Cool de Maxime Govare. Le premier est un film indépendant américain qui raconte l’enfance de deux jeunes filles confiées à leur père maniaco-dépressif joué par Mark Ruffalo. Le second est une comédie française inspirée par des films comme Ecole paternelle ou Baby-Sittor.

Daddy cool version française, qui reprend la chanson du groupe Boney M, c’est l’histoire d’Adrien, 40 ans et totalement immature, qui se fait larguer par Maude, 35 ans, désireuse de fonder une famille. Pour tenter de reconquérir l’amour de sa vie, Adrien décide de monter une crèche à domicile…

Dans le rôle d’Adrien on retrouve Vincent Elbaz et c’est Laurence Arné, l’une des héroïnes de la série Working Girl, qui joue sa future ex. Avec eux un beau casting : Gregory Fitoussi, Bernard Lecoq, Vanessa Demouy, Axelle Lafont ou même Michel Leeb. Le tout dirigé par Maxime Govare dont c’est le deuxième film après Toute première fois.

 
Dans le même genre vous pouvez trouver BIG DADDY (où Adam Sandler se retrouve en charge d'un enfant...) ou encore L'ÉCOLE PATERNELLE (où Eddie Murphy créé une garderie pour enfants...).

Ancien élève du cours Florent, Vincent Elbaz a débuté au théâtre au début des années 90 dans des pièces comme L'Ouest le vrai de Sam Shepard, La Plaisante aventure de Carlo Goldoni ou encore Le Bouc de Rainer Werner Fassbinder, mais c’est grâce au Péril jeune de Cédric Klapisch dans lequel il joue l’inoubliable Chabert qu’il est découvert en 1995.

Deux ans après, il se retrouve à l’affiche de deux comédies populaires phares de 1997 : Les Randonneurs et La Vérité si je mens ! où il incarne le flambeur et dragueur Dov. Auréolé en 1998 du prix Jean Gabin, il n'hésite pas à faire preuve d'autodérision, s'illustrant dans les comédies fantasques comme Quasimodo d'el Paris ou Absolument fabuleux. En 2002 il revient au théâtre dans Hystéria mis en scène par John Malkovich où il a pour partenaire Marie Gillain qu’il retrouve l’année suivante dans Ni pour ni contre (bien au contraire) de Klapisch.

Deux ans plus tard, il passe des essais pour être Mesrine dans un film de Barbet Schroeder qui sera finalement réalisé par Jean-François Richet, avec Vincent Cassel, ce qui l’a beaucoup affecté. Pour autant il continue sa carrière avec succès tournant notamment dans des comédies comme Tellement proches, troisième long métrage d'Éric Toledano et Olivier Nakache ou Il a déjà tes yeux de Lucien Jean-Baptiste.

Nous étions 2 dans la salle de cinéma, cela nous a permis de bien rire .Certes la cigarette est très présente ainsi que les petits ''gros mots'' .Sinon, à souligner le moment d'émotion avec Michel Leeb.Un bon moment pour cette comédie interprétée en partie, par des petits ...

Meme si le trop rare Vincent Elbaz peut parfois surjoué légerement , il parvient à donner de la tendresse à son personnage pourtant assez typique. Car nous sommes bien dans une comédie "typique" bien formatée. Que l'on a déjà vu ( les gamins est l'exemple qui me vient en ...

Souvent je lis dans des critiques de film, en parlant du cinéma français, "oui, c'est bien du cinéma français". Sous entendu, c'est naze. Ben, non. C'est pas naze. Moi, je l'aime bien ce bon vieux cinéma français. Daddy Cool n'a rien gagné aux derniers Césars. Ce n'était ...