Les plus vus

Parce qu'il faudrait être maso pour ne pas vouloir voir une comédie ébouriffante sur fond de SM.

Parce que c'est l'oeuvre folle et hilarante d'un génie finlandais qui gagne à être connu.

Parce que plus de cinquante années après son apparition, le célèbre kaiju n’a jamais été aussi menaçant.

Parce que le film aborde avec intelligence et délicatesse la thématique de la maternité chez les adolescentes et permet à la jeune actrice Carla Quílez de crever l'écran dans son premier rôle !

Parce que ce film catastrophe au suspense efficace cache une critique sociale acerbe

Parce que ce film choral sur la condition féminine en Bulgarie est un authentique coup de poing qui parle, bien sûr, de toutes les femmes du monde.

Parce que le réalisateur Kim Seong-hun a dévoilé s’être inspiré du film Sang pour sang des frères Coen.

Parce que la vie regardée à hauteur d'enfant aura toujours des choses à nous apprendre.

Parce que la bande originale de ce moyen métrage est signée par la compositrice Emily Loizeau ("Océan"), dont on retrouve l'univers musical minimaliste et touchant.

Parce que c'est ce qu'on appelle un film coup de poing.

Il est rare que le cinéma s'intéresse au destin des migrants une fois qu'ils sont arrivés à destination...

Parce que ce film choral sur la condition féminine en Bulgarie est un authentique coup de poing qui parle, bien sûr, de toutes les femmes du monde.

Parce que c'est ce qu'on appelle un film coup de poing.

Parce que c’est à la fois le quasi-autoportrait de la première star aborigène de l’histoire du cinéma et une réflexion sur ce qu’est devenue l’Australie.

Pour la pureté de la relation humaniste entre un père et son fils.

Parce que la vie regardée à hauteur d'enfant aura toujours des choses à nous apprendre.

Parce que le réalisateur Kim Seong-hun a dévoilé s’être inspiré du film Sang pour sang des frères Coen.

Parce que la réalité rattrape la fiction : le thème douloureux des clandestins naufragés version cinéma.

Parce que l'efficacité plus qu'hollywoodienne de ce film sud-coréen est inattendue.

Parce que ce film catastrophe au suspense efficace cache une critique sociale acerbe

Parce que ce film d'action spectaculaire a été primé et récompensé des récompenses les plus populaires en Corée du Sud.

Parce que ce premier film pop et acidulé porte sur un sujet de société encore très actuel.

Parce que c’est un film qui résonne très fort avec une actualité douloureuse, un film qui peut panser des plaies.

Parce que c'est un film magnifique sur les attaches familiales à travers une vieille tradition chinoise.

Parce que l’anorexie mentale au coeur du film est racontée par une réalisatrice qui a été touchée par cette maladie.

Parce que derrière ce titre énigmatique se cache un film doux et très juste sur le deuil.

Parce que Menina est le premier film d’une réalisatrice franco-portugaise, Cristina Pinheiro, encouragée dans l’écriture par Michel Deville lui-même.

Parce que cette fable émancipatrice milite pour la scolarisation des femmes indiennes.

Parce que des retrouvailles sont toujours plus belles sur un air de tango.

Parce que c'est une histoire presque vraie, celle de la réalisatrice, et de son apprentissage de l'injustice.

Parce que c'est l'une des plus terrifiantes expériences cinématographiques de ces dernières années.

Parce que ce thriller à combustion lente brosse le portrait tout en nuances d’une Turquie loin des cartes postales.

Parce qu'on aime le cinéma indépendant américain

Parce qu'on y voit un sosie de Donald Trump en Lituanie s'emparer d’un élevage de cochons.

Parce que 1h31 chrono : tout est dit, montré et démontré... Un récit tourné à l'os qui marque pour longtemps...

Parce qu'on adore les films d'Audrey Estrougo !

Parce que, sans jamais tomber dans le pathos, le film d'Ounie Lecomte explore avec talent les douleurs d'enfance, et parce que Céline Salette est magistrale.

Parce que pour son premier film, Camille Fontaine offre à Virginie Efira le rôle d’une mère qui se noie dans le mensonge pour protéger les siens.

Parce que Sophie Letourneur propose un VERY BAD TRIP au féminin sur fond de festival de cinéma.

Parce que le duo amies-ennemies formé par la brune Hafsia Herzi et la rousse Emilie Dequenne fonctionne à merveille.

Parce que le jour où a été abattu le Boeing de Malaysia Airlines (17 juillet) était aussi celui de l'anniversaire de la réalisatrice Maryna Er Gorbach.

Parce que c'est un film qu'on prend en plein coeur.

Parce que la réalisatrice et actrice Leah Purcell est aussi l'autrice de la pièce de théâtre qui a inspiré le film, pièce elle-même basée sur un classique de la littérature australienne.

Parce qu’à partir de 40 ou 50 ans, les actrices se voient proposer de moins en moins de rôles, elles deviennent "invisibles". La réalisatrice Gracia Querejeta remédie à cela en faisant de ces femmes les héroïnes de son film.

Parce que ce film turc aborde la question difficile du suicide assisté, tout en nous offrant deux beaux portraits de femmes.

Parce que le film a été sous-titré lors de sa diffusion aux États-Unis, de crainte que le public ne comprenne pas le fort accent écossais des personnages.

Parce que ce drame argentin est le premier long métrage d'une réalisatrice prometteuse, récompensée dans plusieurs festivals.

Parce que ce bijou argentin raconte avec délicatesse et humour les relations familiales parfois complexes et troublantes.

Parce que c'est un revenge movie émouvant et brutal dans les magnifiques paysages sauvages de Tasmanie.

Parce que ce film nous vient de Finlande mais les thèmes de l'amitié et du temps qui passe sont universels.

Parce que le film aborde avec intelligence et délicatesse la thématique de la maternité chez les adolescentes et permet à la jeune actrice Carla Quílez de crever l'écran dans son premier rôle !

Parce que cet implacable plan-séquence chilien d’1h26 va vous faire perdre la tête.

Parce que c'est une odyssée bouleversante et poétique avec des acteurs amateurs stupéfiants.

Parce qu'avec ce grand et beau rôle, Daniel Craig prouve une nouvelle fois qu'il est bien plus qu'un simple agent secret au service de sa majesté.

Parce que la manière dont les rues de Paris sont filmées la nuit confère au film une dimension esthétique très particulière, d'où ressortent un danger et une fascination quasi palpables...

Parce que filmer la sexualité adolescente de manière crue n'empêche pas de donner chair à un portrait de la jeunesse.

Parce que les chroniques d'adolescence sensibles et réalistes sont rares.

Parce que David Bowie nous manque chaque jour.

Parce que ce film est une ode au Bristol des années 80, sa jeunesse et ses bandes de petits malfrats.

Parce qu'en 1994, "L'âme des guerriers" a remporté plus de succès en Nouvelle-Zélande que "Jurassic Park".

Parce que rarement l'Angleterre n'aura été aussi bien montrée, racontée, sans fantasme et sans tricherie.

Le quartier londonien de Somers Town se trouve à deux pas de la gare de Saint Pancras, c'est pourquoi la compagnie Eurostar, qui relie l'Angleterre et la France en train, a participé au financement du film.

Le drame du deuil rencontre celui de l'adoption.

Parce que les films capables de transformer les maths en spectacles sont peu nombreux

Parce que c'est l'adaptation raffinée du roman de Chantal Thomas sur l’arrangement imaginé par le Régent de France pour neutraliser l’Espagne.

Parce que Pauline Etienne est la deuxième Amélie (Nothomb) après Sylvie Testud.

Parce que le cinéaste Mahamat-Saleh Haroun a également été ministre de la culture du Tchad entre 2017 et 2018.

Parce qu’un sujet en apparence commun (la séparation d’un couple) devient devant la caméra de Joachim Lafosse un drame sans concession.

Parce que Catherine Frot !

Parce que le film est aussi la dernière apparition de Jocelyn Quivrin sur un écran

L'histoire d'un bataillon de femmes filmé par une femme donne une autre idée des guerres actuelles.

Parce que le couple principal débute au cinéma : Karim El Hayani est un ancien boxeur et Faten Kesraoui a rencontré par hasard le réalisateur dans la rue.

Parce qu'avec ce brillant premier long métrage, Lukas Dhont a obtenu la Caméra d'or au Festival de Cannes en 2018.

Parce c'était la 1ère fois depuis 60 ans qu'un film était tourné dans l'enceinte du Parlement britannique.

Parce que c'est un film féministe sur une icône américaine, sorti en pleine révolution #metoo.

Parce que Marcelo Gomes, grand cinéaste brésilien, réalise ici son grand chef-d’oeuvre, ode aux femmes et à leur liberté.

Parce que la crise du logement peut abriter de splendides mélos modernes.

Parce que le premier film de Léonor Serraille offre une occasion en or à Laetitia Dosch de faire la preuve éclatante de sa vitalité, fêlures comprises.

Parce que c’est Tokyo dans tous ses vices, et la passion brûlante de la danse.

Parce qu’à partir de cette thématique ancrée dans le fantastique, celle de l’ami imaginaire, l’Australienne Del Katryn Barton parvient à tirer une fable sociologique extrêmement concrète...

Parce que l'actrice Ella Rumpf, vue dans "Grave" et "Succession", est rien de moins que la grande star de demain.

C'est tout simplement l'un des plus beaux films de l'année, gorgé de sens autant que d'émotion

Ce film choral touche profondément avec ses personnages bien campés. Conçu pour réconforter, il fait chaud au coeur.

Parce que c'est une des rares fictions à dénoncer de l'intérieur le système de prédation et de silence complice révélé lors de l'affaire Weinstein.

Parce que Scarlett Johansson y incarne une extraterrestre mangeuse d'hommes.

Parce que le film a failli être une comédie avant que les frères Renier en fassent un thriller.

Parce que l'étonnant Takaaki Nomi, qui interprète le rôle principal, n'est pas acteur et ne comprenait pas qu'il tournait dans un film.

Parce qu'on y apprend que la Norvège put rester neutre pendant la guerre froide, grâce son armée secrète de ninja.

Parce que cette comédie noire truculente réunit le gratin des acteurs danois.

Parce que c'est le premier film en tant que réalisateur de l'acteur Charlie Day (la série "Philadelphia"). Il joue aussi le rôle principal, entouré de ses amis stars.

Parce que cette satire de la société bulgare est basée sur une étonnante histoire vraie.

Parce que les deux réalisateurs sont frères, et se sont fait connaître par leurs vidéos YouTube avant de passer au cinéma.

Parce que Julianne Moore impayable en épouse scandinave raide et coincée.

Parce qu'il est trop rare de voir un western porté par une authentique héroïne, ici interprétée avec fougue par Natalie Portman dans un rôle qui lui tient particulièrement à coeur.

Parce que le ton du film de David O.Russell a le ton des comédies romantiques à la fois drôles et cruelles.

Parce qu'un biopic à charge sur un homme politique influent et toujours vivant est une formidable opportunité de mieux comprendre le monde.

Parce que Matthew McConaughey en fait des tonnes dans la peau du héros et c'est un vrai bonheur. Harmony Korine l'a entouré de personnages délirants pour cette comédie frappadingue.

Parce que Noah Baumbach met en scène comme personne une crise existentielle interprétée à merveille par un casting luxueux (Adam Driver, Ben Stiller, Naomi Watts...).

Parce qu'un face à face entre deux jeunes actrices prometteuses, épatantes : Brie Larson et Stéphanie Beatriz.

Parce que le film dégage un délicieux parfum doux-amer qui ne peut pas laisser de marbre.

Parce qu'après avoir réalisé le dramatique "Mysterious Skin" (qui aborde les abus sexuels sur les enfants), le réalisateur Gregg Araki éprouvait le besoin de réaliser un film plus léger.

Parce que c'est une version moderne et pour le moins singulière de l'histoire de la Vierge Marie.

Parce qu'après avoir révélé Jennifer Lawrence dans Winter's Bone, la réalisatrice Debra Granik met ici en lumière l'immense talent de Thomasin McKenzie.

Parce qu'il s'agit d'une histoire d'amour bouleversante et tragique sous fond de haine raciale dans les Etats-Unis des années 1970.

Parce que le titre original se traduit de façon littérale et léonienne par "Il était une fois en Allemagne".

Parce que le roman avait tellement fait scandale à sa sortie que le film qui en est l'adaptation s'est tourné sous un faux titre afin de ne pas attirer l'attention.

Parce que l'équipe de ce cyber-thriller a ensuite créé la série remarquée "Dark" pour Netflix.

Parce que ce film est basé sur un texte de seulement 25 pages, ce qui amené le réalisateur à collaborer au scénario avec l'auteur de la nouvelle pour en développer l'histoire.

Parce que ce thriller raconte, en un plan unique de 2h, une nuit à Berlin qui dégénère.

Parce que Diane Kruger a eu le prix de l'interprétation à Cannes pour ce film.

Parce qu'entre science-fiction et drame intime, l'histoire navigue sans jamais hésiter à trouver sa voie...

Parce que selon la légende, une maman pélican aime tellement ses petits qu'elle est capable de leur faire boire son propre sang pour les nourrir.

Parce que la ville interlope d'Hambourg était le décor tout désigné pour cette série noire allemande.

Parce qu'on aime les films de serial killer.

Parce que l’Éthiopie y est joliment racontée via ce conte d’une amitié entre un garçon et son mouton.

Parce que la violence et la délinquance des plus jeunes ne sont pas des fatalités dans les favelas.

Parce que c’est un film majeur qui demande au spectateur de se mettre dans la peau d’un aveugle, de le suivre, de le comprendre.

Parce que cette histoire incroyable de double vie est authentique et a défrayé la chronique au Québec.

Parce que les films de mafia, on connait, mais les films de mafia québécois, pas tant que ça.

Parce que cette comédie satirique a obtenu un large succès public au Canada et décroché deux Jutra, prestigieuse récompense canadienne.

Parce que le film a failli s'appeler forget me not, du nom de la fleur de myosotis

Parce que sa violence fun et décomplexée rappelle le cinéma de Kitano

Parce que le film de Ted Kotcheff avec Donald Pleasence est rien de moins que l'un des immenses classiques de l'épouvante.

Parce que le film est l'oncle américain de la Nouvelle Vague, des 400 coups et d'A bout de souffle.

Parce que c’est la révélation d’une grande cinéaste, Chloé Zhao, oscarisée pour Nomadland quelques années plus tard.

Parce que le suicide est interdit en Iran ; le réalisateur est d'autant plus courageux d'aborder ce sujet dans son film.

Parce que les décors, somptueux autant que dangereux, sont tout bonnement sublimes, presque envoûtants, et que Simon Baker y trouve rien de moins que son plus grand rôle.

Parce que ce film de Nicolas Winding Refn (Drive) donne le rôle-titre à la future star internationale Mads Mikkelsen.

Parce que c'est un road movie radical, hypnotique, fascinant.

Parce que c'est un polar aux accents de comédie étrange, un film noir sous un soleil de plomb.

Parce que ce grand film méconnu a été présenté en avant-première lors de la Berlinale de 2020.

Parce que ce film ukrainien, tourné dans le Donbass avec des acteurs non professionnels, est une vision impactante, troublante, bouleversante de l'avenir de tout un pays.

Parce que Babak Jalali s'affirme comme un réalisateur sans frontière avec un cinéma plein de curiosité et d'empathie.

Parce que le cinéma iranien continue de surprendre le monde par la liberté et sans doute les risques pris par ses réalisateurs pour évoquer sans fard les sujets les plus polémiques...

Parce que c'est un magnifique film sur la sororité, sujet aussi beau que complexe, aussi important que nécessaire.

Parce que ce film islandais fut un blockbuster dans son pays.

Parce que les comédies de Roberto Benigni sont toujours des feel-good movies montés sur 10 000 volts.

Parce que cet étonnant mélange de documentaire et de fiction est basé sur des faits réels.

Parce que ce film du réalisateur mexicain Michel Franco a obtenu en 2017 à Cannes avec le prix spécial du jury Un certain regard.

Parce que le succès international de ce film thaïlandais lui a permis d'être décliné en série.

Parce que le réalisateur Peter Greenaway est aussi l'auteur des dessins qui ont une importance capitale dans l'intrigue.

Parce que, sans être autobiographique, ce film a été inspiré au réalisateur par deux évènements importants et concomitants de sa vie : la naissance de son enfant et la mort de son meilleur ami.

Parce que la majorité des dialogues du films est en galicien.

Parce que malgré son titre, ce film et son personnage n'ont rien de tout blanc et évoluent au contraire dans les zones grises de la morale.

Parce que ce drame social culinaire a beaucoup de goût, aussi bien au niveau de la nourriture que des sentiments.

Parce qu'après avoir vu ce film anglais, vous ne regarderez plus vos amis de la même manière.

Parce qu'on peut y entendre la chanson Спокойная ночь (Bonne nuit), de Kino, groupe emblématique de la fin de l'URSS.

Parce que c'est le film allemand le plus accrocheur de la décennie.

Parce que c’est un film hardcore, véritable ovni dans le paysage cinématographique français.

Parce que c'est l'oeuvre folle et hilarante d'un génie finlandais qui gagne à être connu.

Parce qu'il faudrait être maso pour ne pas vouloir voir une comédie ébouriffante sur fond de SM.

Parce que plus de cinquante années après son apparition, le célèbre kaiju n’a jamais été aussi menaçant.

Parce que les prouesses techniques qui vont jusqu'à contrôler le clignement des yeux de l’héroïne.

C'est une très efficace série B espagnole méconnue des années 70...

Parce que c'est la nouvelle provocation très attendue du sulfureux Peter Strickland, réalisateur de The Duke Of Burgundy et In Fabric.

Parce que c'est un film hommage à l'âge d'or du cinéma italien de Scola à Fellini...

Parce que si le film est anglais, il se déroule bien en Italie, hommage au Giallo oblige.

Parce que le sadomasochisme est une discipline délicate à illustrer au cinéma. Ce film y parvient en douceur.

Parce que Vincent Macaigne, que l'on connaissait grand acteur, s'affirme comme un grand réalisateur.

Parce que l'idée de ce thriller horrifique percute avec bonheur le style visuel unique de la dessinatrice.

Parce que Yolande Moreau réalise un film poétique et singulier.

Parce que les réalisateurs d'"Everything Everywhere All at Once" offrent à l'interprète d'Harry Potter un rôle pour le moins singulier.

Parce que le film met au coeur de son intrigue les rapports entre l’amour et l’argent, et qu'on assiste à la rencontre (au générique) entre Dominique Besnehard et Paulette Dubost.

Parce que le film (français, muet, et en noir et blanc) a 30 ans de plus que The Artist

Parce qu'un des rôles principaux est tenu par la chanteuse Lykke Li, pour laquelle le réalisateur Tariq Saleh a aussi signé le clip du tube "I Follow Rivers".

Parce que Daniel Radcliffe a vraiment bien changé depuis Harry Potter.

Parce que le film de JL Van Belle est autant un film d'horreur qu'une expérience dadaiste

Parce que, pour une fois, ce n'est pas Michael Shannon qui interprète le personnage le plus perturbé du film.

Parce que curieusement l'affiche du film a déclenché plus de passion que son contenu

C'est sans doute le plus beau film de Kitano, qui concilie la vigueur de ses polars et la délicatesse de ses films plus intimistes

Parce que Takeshi Kitano a réalisé son premier film suite au désistement du réalisateur Kinji Fukasaku, qu'il retrouvera 11 ans plus tard sur le plateau de "Battle Royale".

Parce qu'une sonatine est une petite sonate, une sonate courte. C'est aussi le film qui imposa Takeshi Kitano comme un cinéaste majeur.

Parce que ce polar également connu sous son titre japonais de "Jugatsu" est le premier film écrit par Takeshi Kitano (mais sa deuxième réalisation).

L'un des films les plus bouleversants de Takeshi Kitano.

Ce film a une place particulière dans l'oeuvre de Takeshi Kitano qui l'a réalisé après un grave accident de scooter. "C'est mon film de réadaptation à la société" a dit le cinéaste.

Parce que ce film de surf atypique marque la première collaboration de Takeshi Kitano avec son compositeur-fétiche (qui est aussi celui de Miyazaki) : Joe Hisaishi.

Parce que ce chef d'oeuvre du cinéma hongrois a obtenu l'Oscar du meilleur film en langue étrangère en 2016 et le Grand Prix à Cannes.

Parce que ce film, célébré au festival de Berlin, est une ode à la vie, un débordant appel à la chaleur humaine.

Parce que ce film hongrois, qui glisse subtilement du drame au surnaturel, a eu les honneurs du festival de Berlin.

Parce que ce film est une nouvelle preuve éclatante de la vitalité du cinéma hongrois.

Parce que Lazlo Nemes y affirme un peu plus la singularité de son regard et sa volonté de parti pris esthétique.

Parce que ce film est une sorte de suite de "Forest", le premier long métrage de Benedek Fliegauf en 2003. "Forest" mettait en scène des acteurs non-professionnels choisis parmi les proches du réalisateurs, ce qui n'est plus le cas ici.

Parce qu'il n'y avait que le cinéma hongrois pour avoir l'audace de filmer ainsi le bodybuilding féminin.

Parce que des compagnies japonaises ont refusé de travailler sur les séquences d'animation du film, en raison de sujets (le mal-être adolescent et le suicide) trop sensibles dans leur pays.

Parce que c'est Matt Groening, le créateur des "Simpsons" et "Futurama", qui parle le mieux du réalisateur des "Mutants de l'espace" : "Bill Plympton est Dieu... ou alors il a vendu son âme."

Parce que le film n'a aucun dialogue mais bénéficie d'une bande-son composée de chansons de Tom Waits ou Pink Martini.

Contrairement à son habitude, Bill Plymton a réuni un parterre de stars pour faire les voix de ses personnages. Parmi ces voix, celle de Matt Groening, le créateur des "Simpsons", dont c'est le tout premier doublage.

Parce qu'au début des années 1980, Bill Plympton avait postulé chez Disney, en vain ! On comprend pourquoi en voyant son film.

Parce que le réalisateur Bill Plympton a dessiné et animé seul les 40 000 dessins qui composent son film (il a par contre été aidé par une dizaine de personnes pour la mise en couleurs).

Parce que la compositrice et coscénariste Maureen McElheron est une amie de longue date du réalisateur Bill Plympton: au milieu des années 1970, il jouait déjà avec elle dans un groupe de country.

Artiste farouchement indépendant, qui anime seul ses films, Bill Plympton a pour la première fois travaillé avec un coréalisateur, le nouveau venu Jim Lujan (qui s'occupe aussi de la musique et du doublage).

Parce que comme Malraux et Malaparte, Michel Houellebecq n'a réalisé qu'un seul film.

Parce que c'est l'unique long métrage réalisé par la romancière Françoise Sagan (on lui doit aussi le court "Encore un hiver" en 1974).

Parce que ce film est signé Jean-Baptiste Rossi, ce qui n'est autre que le vrai nom du romancier et scénariste Sébastien Japrisot.

Parce que Marguerite Duras trouvait son film raté.

Parce qu'André Dussollier en Staline est aussi impressionnant que Bruno Ganz en Hitler!

Parce que si Chet Baker est apparu au cinéma, qu’il a composé des musiques de film et inspiré des documentaires, c’est la première fois qu’il apparaît au cinéma sous les traits d’un acteur (Ethan Hawke).

Parce que ce film a été à l'origine tourné pour la télévision avant d'être projeté à Cannes, de sortir au cinéma et de lancer la carrière de Daniel Craig, quelques années avant James Bond.

Parce que pour comprendre son époque et ses dérives, il faut toujours revenir à l'Histoire.

Parce qu'on assiste, sur plusieurs décennies, à l'éclosion d'un peintre allemand de renom qui prône la liberté artistique plus que tout.

Parce que c'est l'histoire vraie d'une nouvelle génération de rockers dans le Leningrad des années 80.

Parce que ce biopic était un projet de Rainer Werner Fassbinder, que Margarethe von Trotta a repris après la mort de celui-ci.

Parce que Michael Apted a réalisé coup sur coup deux films consacrés à la minorité amérindienne : ce documentaire engagé et le polar "Coeur de Tonnerre", tourné dans une authentique réserve des Sioux.

Ce doc permet de revoir quelques grands moments de la filmographie de De Palma et d'en obtenir les explications...

Parce que c'est l'occasion d'en savoir un peu plus sur la vie et l’oeuvre de Léos Carax, artiste discret, pour ne pas dire mystérieux.

Parce qu'il s'agit d'un devoir de mémoire, celle d'un événement qui s'est déroulé sous la dictature de Pinochet, unissant Chiliens et Italiens.

Jean-Baptiste Thoret fait entendre à la fois la voix des Américains anonymes et celle de cinéastes comme Michael Mann, Paul Schrader, Peter Bogdanovich, Tobe Hooper, Jerry Schatzberg, entre autres.

Parce que le film réunit de nombreux témoignages de victimes et permet de mieux comprendre comment Harvey Weinstein pouvait avoir une telle emprise sur son entourage.

Parce que le président Ion Iliescu, à la tête de la Roumanie de 1989 à 1996 et de 2000 à 2004, joue ici son propre rôle.

Parce que le film a reçu deux Léopards d'or (meilleur réalisateur et meilleur acteur) au festival de Locarno.

Parce que le réalisateur a accordé beaucoup d'importance aux dialogues, qui sont pléthoriques et inspirés du style très littéraire d'Eric Rohmer.

Parce que le titre fait référence à la chanson du groupe Police, dont ce n'est pas la première utilisation au cinéma (souvenez-vous d'Eddie Murphy au début de "48 Heures").

Parce que le réalisateur Pierre Mazingarbe vient du cinéma d'animation, ce qui explique le soin visuel apporté à ce film en prises de vue réelles.

Parce que c'est un conte cruel, qui rappelle les histoires tristes de Hans Christian Andersen.

Parce que le réalisateur Frédéric Pelle et l'acteur Nicolas Abraham, tous deux originaires de Biarritz, se connaissent et travaillent ensemble depuis les années 1990.

Parce que David Coquard-Dassault, dont c'est ici le premier court métrage, a ensuite travaillé comme directeur artistique du superbe "Le sommet des dieux", d'après Jirô Taniguchi.

Parce que la bande originale de ce moyen métrage est signée par la compositrice Emily Loizeau ("Océan"), dont on retrouve l'univers musical minimaliste et touchant.

Parce que le réalisateur Paul Mas a eu l'idée de son film en regardant des enfants jouer dans une cour d'école et en s'interrogeant sur leur violence.

Parce que c'est à la fois un documentaire et un film d'animation (récompensé du César 2022 du Meilleur Film d'Animation de court métrage).

Parce que cette "rêve party" bénéficie de la musique de M83 (qui n'est autre que le frère du réalisateur).

Parce que le rôle du réalisateur est interprété par... le réalisateur Yvon Marciano.

Parce que ce court métrage, récompensé aux Césars, est devenu peu de temps après un long métrage sélectionné à Cannes.

Parce que Florence Miailhe réalise ses films grâce à la technique de la peinture sur verre, pour un résultat d'une rare beauté.

Parce que l'histoire de Béranger fait partie d'une série de trois films courts sur le thème du SIDA.

Parce que c'est le premier film de Maïté Sonnet, qui travaille avant tout comme scénariste de télévision.