
Le film-portrait est un genre très anglo-saxon. Le héros s’appelle James White et on va suivre son destin. Il a vingt ans et comme disait Paul Nizan, « je ne laisserai personne dire que c’est le plus bel âge de la vie ».
Bref James White est un long métrage américain sorti en 2015 en salle et de la cuisse d’un garçon nommé Josh Mond. Un film très newyorkais dans l’esprit avec un jeune homme perdu dont la mère ne va pas bien. Peut-être y’a-t-il un sens à la vie, peut-être ce sens le trouvera-t-il.
Cette oeuvre est - encore - une découverte du Sundance festival, la fabrique à films alternatifs de Robert Redford. Il nous fait - encore - découvrir des acteurs yankees talentueux, notamment le jeune Christopher Abott dans le rôle-titre. Alors go James, go!
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Le parcours d'un homme entre une mère tendre et bienveillante et un père exigeant, autoritaire. De manière allégorique c'est le chemin de vie d'un homme que trace Malick, l'englobant dans l'universel, le perdant dans l'infini.
Josh Mond
Une autre histoire mère-fils, de cohabitation imposée. Le temps de refaire pendant quelques mois le parcours d'une vie et de tenter de recoller les morceaux.
