JE LA CONNAISSAIS BIEN

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Adriana Astarelli, une très jolie jeune femme, a quitté son village natal pour Rome, dans l'espoir de devenir une vedette de cinéma. Perdue dans la grande ville, elle accumule d’abord les petits boulots : coiffeuse, manucure, puis ouvreuse dans un cinéma.

Elle trouve finalement un imprésario, qui lui fait rencontrer des couturiers, des photographes et la fait travailler comme figurante sur un péplum.

Adriana se voit déjà devenir actrice ou mannequin, mais elle comprend que les hommes qui l'entourent lui font des promesses pour mieux profiter d'elle.

 
Dans le même genre vous pouvez trouver EVE (L'ascension d'une jeune actrice dans l'univers impitoyable du théâtre. Mankiewicz nous montre avec finesse et ironie le prix de la célébrité.) ou encore STAR 80 (1983) (A partir d'une histoire vraie, le réalisateur Bob Fosse dresse un réquisitoire contre les mirages de la célébrité.).

Bercé par la douce et mélancolique musique yé-yé de l'époque chantant les amours perdues et l'insouciance de la jeunesse, Je la connaissais bien met admirablement en scène les femmes, ici superficielles, vaines et en quête de popularité avec en arrière-plan un univers ...

Je la connaissais bien : toute la mélancolie du récit à venir semble encapsulée dans le titre, comme un avant-goût de la conclusion amère des aventures de la jeune et très jolie provinciale partie à la ville comme une alouette attirée par un miroir étincelant. Toujours ...

Mon premier Antiono Pietrangeli. Aussi étrange que cela puisse paraître, je n'avais jamais vu de film de cet auteur. Je crois même que sans ce cinemed 2014, je serais toujours ignorant du bonhomme. L'Italie a rapidement besoin de se pencher sur son cinéma du passé pour le ...