
Le grand Clint joue sur les deux tableaux : à la fois collectionneur d’art et arrangeur de portrait pour le gouvernement. Il voudrait bien prendre sa retraite mais son hobby a un prix. Alors il accepte une mission ultime.
Dans « La sanction » Eastwood est, comme souvent, devant et derrière la caméra. Le film, sorti en 1975, a pour titre original « The Eiger Sanction » du nom de la montagne suisse sur laquelle l’action se déroule en partie, en particulier sa face nord réputée dangereuse.
C’est le quatrième film réalisé par le maître en quatre ans et il fut un succès modeste si l’on compare à ses westerns ou à la série des Dirty Harry. Il s’agit d’un thriller vertical, un de ces films où le milieu extrême n’est pas le moindre des ennemis auquel le héros est amené à se confronter.
Réalisé par
Avec
George Kennedy
La Suisse est un pays neutre mais, chacun le sait, Zurich est un nid d'espion. Boisset dans une intrigue tortueuse et paranoïaque raconte l'internationale des tueurs et des contrats gouvernementaux, ceux qui s'exercent au-dessus de toutes lois.
Clint Eastwood
Le montagnard est là et il s'appelle Stallone. Un des films d'action parmi les plus spectaculaire de Sly qui joue à nous faire peur entre abîmes et crevasses. Et comme un film est toujours meilleur quand le méchant est réussi, c'est John Lithgow qui s'y colle et il est mauvais comme la gale.