Depuis la mort de sa femme, Shuhei Hirayama vit seul avec son dernier fils et sa fille Michiko. Celle-ci a pris en charge toutes les tâches du foyer et c’est à peine si Hirayama a remarqué qu’elle était en âge de se marier.
Un soir de beuverie entre amis, il retrouve un de ses anciens professeurs, devenu un misérable patron de bar : celui-ci lui avoue, en larmes, qu’il ...
Le plus frappant à cette xième vision c'est l'incroyable formalisme de ce film. Presque chaque plan est habité de lignes droites. A l'extérieur, ce sont les enseignes lumineuses des bars, la verticalité des cheminées d'usine, à l'intérieur, ce sont les différents plans ...
Lire la suite9Par GizmoLe goût du saké, c'est ce qui demeure en nous lorsque tout le reste a disparu. C'est le souvenir, plus ou moins vivace, d'un passé qui semble déjà si lointain. Le temps, dans sa basse besogne, fait vieillir les corps et séparer les êtres au rythme des saisons. Les années ...
Lire la suite9Par KalopaniAprès une période d'adaptation, je me suis laissé prendre à ce dernier film d'Ozu : Le Goût du Saké, où il est avant tout question de la solitude, de la vieillesse, du rapport des pères à leurs filles, Hirayama est veuf, et de l'égoïsme sans bornes de ceux-ci quand ils ...
Lire la suite9Par AureaRéalisé par
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Chishû Ryû
L’esthétique minimaliste, géométrique et colorée de Tati se rapproche de celle d’Ozu. Comme le Japonais, le Français filme (avec plus d’humour) la ville moderne et les bars où on noie sa solitude.
Yasujirô Ozu
Ce beau film taïwanais, primé à Cannes, traite également de la famille, des traditions et du vieillissement.
