PROPRIÉTÉ PRIVÉE

en VOD

Un photographe de charme, un escroc, trois magnifiques modèles, une villa tropézienne… vous devinez la suite. Enfin du moins, vous croyez deviner la suite, car Propriété privée n’est pas un porno courant. Et oui car  le photographe est dépressif et doute de ses désirs tandis que les trois mannequins aiment l’amour physique tout en assumant aussi leurs revendications féministes. La preuve avec jolie phrase de dialogue où la mignonnette Axelle Mugler  avoue à son amant qui vient de la pénétrer:  « Oui, c’était bon, mais je n’ai pas joui ».   Avec sa photo aux couleurs joliment estivales, sa musique étrangement easy listening et sa mise en scène naturaliste qui aborde les scènes hard avec un érotisme esthétisant, ce film de Jack Tyler est, comme le précise un journaliste de la revue Chronikart : « Un porno de classe sur la crise du désir chez le mâle occidental ». En gros, le cinéaste tente de prouver par le biais de ses images coquines que l’homme d’aujourd’hui n’arrive plus à bander à fond. Tout ça parce qu’il a perdu le goût du mystère et de la sublimation érotique. Mais il ne faut pas s’inquiéter pour autant, car Propriété privée reste - si on veut le regarder sans réfléchir – un porno très efficace qui aligne les scènes romantico-cochonnes avec son lot de séquences lesbiennes hot, de pénétrations distingués et d’éruptions spermiques digne d’une  grosse éjaculation d’un bon vieux volcan en rut. Vésuve, si tu m’entends…

 
Dans le même genre vous pouvez trouver BUTTMAN A LONDRES ou encore TROIS SUEDOISES DANS L'ILE AUX MILLES PLAISIRS .

Quand on regarde un porno, on se demande généralement quelle est la vie intime des actrices qui l’interprètent. Qu’est ce qu’elles aiment ? Quelles sont leurs passions ? Leur parcours ? Leurs goûts ? Leurs envies ? Après une longue enquête,  nous sommes donc en mesure de vous donner quelques petites infos sur les trois hardeuses chocs de Propriété privée.
Par exemple Tiffany Hopkins : née à Rouen, elle aime la musique soul, funk et le rai et adore manger du chocolat tout en relisant en boucle Le Palanquin des larmes. Axelle Mugler, elle, est un Parisienne pure souche qui se définit comme étant « extravagante dans la limite du raisonnable ». Ce qui veut à la fois tout dire et son contraire… Son acteur fétiche est Vin Diesel, son actrice préférée Victoria Abril. Et quand elle est seule chez elle, elle adore se nourrir de pâtes et de coca cola tout en lisant les bouquins de Bernard Werber. Plus intéressant est le cas de Nina Roberts, fille de coiffeuse, qui a vécu une enfance assez hard dans la banlieue parisienne chaude. Complexée sur son corps, elle est tombée très tôt dans l’anorexie, une maladie qu’elle prétend progressivement dompter en tournant porno sur  porno. Si elle se définit comme étant « trop gentille » dans la vie, elle est tout de même jusqu’au-boutiste dés qu’il s’agit de pratiquer des expériences sexuelles vachardes. Ainsi, elle n’a pas hésité à s’auto-dépuceler à l’age de 13 ans avec un manche de fourche qu’elle avait recouvert d’un préservatif. Aïe… ! Toujours est il que Nina Roberts a aussi des talents d’écriture qu’elle a prouvé à travers deux livres autobiographiques  -  « Grosse vache » et « J’assume » -  où elle parle sans concession de son métier de hardeuse et de son anorexie…  

Les médias nous en rabattent les oreilles régulièrement: le Mexique est aujourd'hui devenu un des pays les plus dangereux au monde, entre l'explosion de la délinquance et de la violence, la corruption de la police comme de la justice et le pourrissement des institutions, l'image ...

Le propos que Pla porte à l'écran est dérangeant, met mal à l'aise, dès les premiers instants et pas seulement parce qu'il nous rappelle, à nous autre occidentaux, au combien nous sommes bien lotis... L'image est tout aussi sombre que la réalité qui nous est proposée, ...

"La Zona" est un film intelligent qui utilise les armes du cinéma le plus "populaire" - le cinéma hollywoodien, avec sa virtuosité narrative, ses effets de suspense, son efficacité émotionnelle - pour nous parler de nous, de l'avenir de notre monde, de la monstruosité qui ...