TAMAGOTCHI en VOD
- De
- 2010
- 89 mn
Mametchi et ses amis adorent les livres d'images magiques créés par les propriétaires de la bibliothèque, la famille Otogitchi. Pouvant entrer dans chaque histoire, ils en deviennent les héros. Le bonheur que ces livres procure à Mametchi le pousse à créer Hapihapitchi, un Tamagotchi qui a la particularité de récupérer le bonheur des gens heureux pour en faire profiter les gens...
- Jeunesse
- Japon
- Tous publics
Réalisé par
Avec
1 MIN AVANT
Né au Japon en 1996, le tamagotchi est (pour ceux qui ne s’en souviendraient déjà plus) une petite bestiole virtuelle et informatisée, dont il s’agit de s’occuper comme d’une vraie. Il faut lui donner à manger, la sortir, lui faire des câlins... le but étant qu’elle « vive » – entre guillemets ! – le plus longtemps possible. Né nippon, le tamagotchi aurait pu le rester, si un homme d’affaire bordelais, un certain Sébastien Breteau, n’avait eu l’intuition qu’il pourrait remporter, ici, le même succès que là-bas. Ce fut le cas ! En quinze jours seulement, l’étrange objet devint le jouet le plus vendu en France !
Phénomène de société, diffusé à 40 millions d’exemplaires dans le monde, le tamagotchi – dont le nom signifie en japonais "adorable petit œuf"– va donner naissance, dès 1997, à une série télévisée nipponne puis, en 2008, au film que vous allez voir – ou que vos enfants vont voir – maintenant.
Sorti au Japon en décembre 2008 et en France en février 2010 – pendant les vacances scolaires – Tamagotchi, le film, raconte les aventures merveilleuses de Mametchi, de son amie Memetchi et de tous leurs copains, parmi lesquels le glouton Kuchipatchi et le têtu Kikitchi. Avec eux, ceux qui ont gardé leur âme d’enfant vont voyager dans les pages des merveilleux livres d’images de la bibliothèque volante des Otogitchi... Bon voyage !
Dans le même genre vous pouvez trouver POKÉMON (1997) (Autre adaptation – animée et nippone – d’un jeu vidéo) ou encore LE TOMBEAU DES LUCIOLES (1988) (Produit en 1988, sorti en France en 1996, ce film de Isao Takahata montre une autre facette (plus tragique) de l’animation nippone.).