THE GREASY STRANGLER

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Brayden et son père Big Ronnie organisent des visites au rabais de Los Angeles sur le thème du disco. Menteur pathologique, Ronnie raconte avoir bien connu les Bee Gees et Michael Jackson.

Ronnie ne mange que la nourriture très grasse. La nuit, il se couvre le corps de graisse et part commettre des meurtres dans la ville. Il devient connu sous le nom de « the greasy strangler », l’étrangleur graisseux.

Lors d’une visite, Brayden rencontre Janet, une jeune femme dont il tombe amoureux et avec laquelle il perd enfin sa virginité. Ronnie, jaloux, entreprend de détruire leur couple.

 
Dans le même genre vous pouvez trouver SEVEN (Parce que le supplice de la gourmandise (un obèse forcé à manger jusqu'à l'explosion) peut faire penser au serial killer gras de "The Greasy Strangler".) ou encore STREET TRASH (Comme son titre l'indique, ce film sur des clochards qui fondent se vautre dans la mauvais goût absolu. C'est l'unique réalisation du steadicameur de James Cameron.).

Un peu bizarre ce film. Mais la bizarrerie n'excuse pas tout. Si le délire initial est prometteur, l'exploitation est un peu décevante : le délire ne semble pas exploité avec jusqu'au-boutisme malgré le sentiment que tout cela est bien assumé. C'est sans doute le manque ...

Film comico-cracra, rampant quelque part entre Napoléon Dynamite et Bad Boy Bubby avec un humour glaireux bas du front qui rappellera aux plus érudits d'entre vous le trash érotico-zarbi de John Waters. Il y a des physiques à gueule, une chouette photographie façon ciné ...

Imaginons. On pourrait croire que c’est simple, qu’il y aurait deux catégories de films : les bons films et les mauvais films. Sauf qu’il y aurait deux catégories de mauvais films : ceux qui sont involontairement mauvais, et ceux qui font exprès de l’être. Ca resterait ...