UNE FEMME NOMMEE DESIR

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Je suis une magnifique américaine à la carrosserie superbe et généreuse qui plaît autant aux hommes qu’aux femmes. Ma classe et mes performances m’ont permis de devenir la complice d’hommes riches et puissants » Voilà ce que nous confie en voix off la « belle américaine » qui n’est autre qu’une luxueuse limousine, en l’occurrence une Cadillac. Elle nous raconte comment elle a suscité la convoitise de ses différents propriétaires. Il faut dire que rares sont les jolies passagères qui ne s’abandonnaient pas sur la banquette arrière ou même sur le capot aux galipettes les plus torrides et les plus osées.

Tout à commencé lorsque André Kay a fait le pari avec son meilleur ami qu’il pourrait séduire sa femme et lui faire l’amour. L’enjeu du pari ? La Cadillac du mari. L’épouse, l’excitante Melissa Braco, va céder aux avances du séducteur et nous dévoiler à quel point elle peut se montrer cochonne.

Bingo ! La Cadillac change de propriétaire et c’est le début d’une série de scènes sexuelles plus spectaculaires les unes que les autres avec les plus jolies hardeuses allemandes du moment.

 
Dans le même genre vous pouvez trouver CONFIDENCES ÉROTIQUES D'UN LIT TROP ACCUEILLANT - MICHEL LEMOINE (1973) (Ce n'est pas une voiture mais un lit qui raconte ses souvenirs et les performances sexuelles de ses différents propriétaires.) ou encore SECRETS DE FEMMES - MICHEL BARNY (1986) (Michel Barny tourne à nouveau à Munich où il dirige de ravissantes cochonnes teutonnes.).

1986, je travaille à cette époque pour Marc Dorcel qui me propose d’aller en Allemagne pour y tourner deux films dont Une femme nommée désir, qui nous intéresse présentement. Nous voilà à Munich où Marc, qui était très attentif au casting, fait défiler à notre hôtel un nombre impressionnant de jolies et sexy Prussiennes qui étaient toutes ravies de travailler avec des Français. André Kay et Christophe Clark, hardeurs hexagonaux qu’on ne présente plus, faisaient partie de la distribution.

Une fois la sélection établie et les rôles féminins distribués nous avons pu commencer le tournage et je dois avouer que j’ai été bluffé par la gentillesse et le professionnalisme de ces adorables Teutonnes. La première séquence mettait en scène la troublante Melissa Braco, blonde aux cheveux courts et au tempérament de feu, qui se donne comme une folle à André Kay sous les yeux de son mari dévasté qui est en train de perdre sa femme et sa voiture.

Lorsqu’André prend possession de la Cadillac il prend également possession de sa secrétaire, la délicieuse Laura Lancelot, brune au regard de braise qui fait preuve d’imagination et d’une rare souplesse dans les scènes hard à l’arrière de la voiture. Dans cette séquence, peut-être aurez-vous reconnu le chauffeur de la limousine. Il s’agit de Dominique Aveline, hardeur ô combien émérite du hardcore français mais qui fait ici de la figuration car je l’avais engagé comme assistant à la mise en scène. Et je peux vous affirmer qu’en dehors du fait que c’était un ami très cher, il était également un collaborateur émérite. Mais revenons à nos bandantes Allemandes. Nous arrivons à la sublime Sabina K, l’impressionnante blonde qui pose pour le photographe de charme. Avec son physique de star hollywoodienne elle nous a tous séduit et il faut reconnaitre que sa prestation est assez impressionnante. Cette ravissante Sabina n’aura fait que trois films dans sa courte carrière, deux avec moi, celui que vous venez de voir et Secrets de femmes la même année ainsi qu’un film de Michel Ricaud, toujours en 1986 pour Marc Dorcel, Pulsions inavouables. Puis elle a pris sa retraite. Clap de fin !