VENOM: LET THERE BE CARNAGE

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Le journaliste Eddie Brock et Venom forment un tandem des plus explosifs… dans un même corps Deux tempéraments opposés, des systèmes de valeurs pas toujours partagés, bref les motifs de discorde sont nombreux et quand Venom s’énerve, bonjour les dégâts. En quelques minutes, l’appartement de Brock peut être saccagé sol au plafond.

N’empêche. Contre le terrible Carnage, le symbiote qui se glisse en Cletus Kassidy, il va falloir se serrer les coudes. Ce deuxième chapitre autour de Venom annonce des affrontements spectaculaires, mais sans perdre en chemin son sens de l’humour, amplement nourri par les tiraillements entre Brock et son colocataire envahissant.

Tom Hardy, qui a imaginé cette suite avec la scénariste Kelly Marcel, retrouve le haut de l’affiche face à Woody Harrelson, qui reprend ici le personnage de tueur en série, qu’il jouait sous forme de caméo dans le premier volet de ces aventures Marvel. Derrière la caméra,  Andy Serkis, qui a signé Mowgli la légende de la jungle, s’appuie à nouveau sur la technologie de la performance capture pour donner aux créatures en 3D des mouvements aussi fluides que précis.

 
Dans le même genre vous pouvez trouver VENOM (Le précédent volet de ces aventures interprétées par Tom Hardy) ou encore SPIDER-MAN : NO WAY HOME (Eddie Brock (incarné par Tom Hardy) et Venom y apparaissent fugitivement).

Ce deuxième chapitre autour de Venom est une première cinématographique dans l’univers Marvel : Carnage y fait son apparition. Ce symbiote est « l’adversaire ultime » de Venom, dont il est d’ailleurs issu. Pour la scénariste Kelly Marcel, également auteur du script du premier volet (ainsi que de Cinquante nuances de Grey), « Carnage est le méchant le plus aimé du Venomverse, et l’un de ceux qui comptent le plus. ». Visuellement, Carnage a dû être créé de A à Z.  Alors que Venom, a une carrure de joueur de rugby et une force hors du commun, le réalisateur Andy Serkis  a voulu un Carnage radicalement différent. « C’est un métamorphe, asymétrique, qui reflète la personnalité de Cletus Kasady. Ses tentacules sont plus fins et peuvent se transformer en armes. Il contrôle sa structure moléculaire et peut ainsi se métamorphoser en n’importe quoi».

Pas facile de jouer deux personnages en un et, pour passer de Eddie Brock à Venom, Tom Hardy s’est beaucoup servi de son oreillette. En amont du tournage de ses scènes, le comédien enregistrait avec l’ingénieur du son les répliques de Venom. Si bien que pendant les prises, il pouvait se caler parfaitement sur les interventions de son « hôte » grâce à la discrète oreillette qui les lui diffusait. Cette présence sonore lui permettait de trouver le bon rythme de la scène. Hardy demandait parfois à l’ingénieur du son de retarder de quelques secondes l’envoi de telle réplique ou de l’interrompre par telle autre pour trouver le débit idéal.

Autre élément important pour entrer dans la peau des personnages : les costumes. La costumière Joanna Eatwell a veillé à ce que ses créations respectent les valeurs des acteurs. Woody Harrelson étant végan de longue date (il a même possédé un temps un restaurant végétalien), elle a privilégié autant que possible les matières compatibles vegan. Aucun des vêtements portés par l’acteur ne comporte de cuir, et la peau de serpent et la fourrure sont artificielles. Ses bottes ont ainsi été fabriquées en Italie dans une matière non animale. Harrelson a aussi beaucoup apprécié de ne plus avoir à porter la perruque bouclée qui le coiffait dans le premier volet et qui n’était vraiment pas à son goût !

Alors oui 7 c'est beaucoup trop pour ce film, mais j'assume ce plaisir ultra coupable d'entrée. J'ai envie de commencer par dire pour ma défense, qu'en meme temps ... Le premier film a tapé les 800 millions , alors la faute à Sony complètement ? On est tous de ces gogos à ...

Bonjour, 2022 pour moi cette années j'ai décidés de faire mes critique plus construits car les gens ragez dans les commentaires. Du coup je vais aussi essayer de corrigé mes faute d'orthographe. Alors moi jai trouver que vous avez pas de gout. Je trouve que c'etais clairement ...

« Venom 2 , Let there be carnage » suite sympathique de « Venom » . Un détective privé contact le journaliste Eddie Brock ( Tom Hardy ) , toujours en possession du symbiote nommé Venom , pour qu’il parle à un tueur en série nommer Cletus Kasady ( Woody Harrelson ...