Carte postale de notre chroniqueur gérard delorme

L’étreinte du serpent et Les oiseaux de passage : deux invitations au voyage très différentes dans leur forme. L’un est un récit initiatique en noir et blanc, l’autre un film de gangsters en couleurs , mais ils ont en commun de nous faire partager la vision des populations locales, qu’ils soient Indiens d’Amazonie, ou paysans du nord de la Colombie. Dans tous les cas, ils partagent une perception différente du temps, de l’espace et de la narration, loin des conventions hollywoodiennes.
Carte postale de notre chroniqueur gérard delorme