A l’instar de Louis Malle, de Ken Loach ou Martin Scorsese, Bertrand Tavernier fait partie de ces cinéastes qui choisissent régulièrement de s’écarter de la fiction pour se plonger dans le monde documentaire. Une façon de procurer un nouvel éclairage à une œuvre, une façon aussi de faire appel sinon à un nouvel outil du moins un nouveau dispositif pour développer des thèmes chers sous une autre forme.