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Parce qu'on peut assister aux débuts d'un tout jeune Jean Reno, face à des vedettes confirmées comme Jean-Pierre Marielle, Darry Cowl et Daniel Prévost.
De Robert Pouret - 86 mn
Parce que Jean Yanne, Jean Lefebvre et Michel Galabru jouent ici des Anglais, alors qu’on ne fait pas plus français qu’eux.
De Jean Girault - 81 mn
Pour y apprendre que D'Artagnan a eu un fils qui ressemblait à Michel Leeb, du moins ici
De Yvan Chiffre - 92 mn
Parce que le film est tiré de "Messieurs les hommes", 1955 Fleuve Noir Spécial Police N°67
De Guy Lefranc - 95 mn
Parce que le réalisateur Richard Balducci, scénariste du "Gendarme de Saint-Tropez" et spécialiste de la comédie franchouillarde, a quand même débuté sa carrière en jouant dans "A bout de souffle".
De Richard Balducci - 97 mn
Parce que c'est l'unique film écrit et réalisé par l'homme de théâtre Jean-Pierre Darras, qui débuta sa carrière avec Philippe Noiret.
De Jean-Pierre Darras - 98 mn
Parce que Maurice Risch y succède à Paul Préboist, on peut parler de diptyque!
De Robert Thomas - 88 mn
Parce que pour les Charlots, le film succédait au Retour des bidasses en folie
De Jean Couturier - 81 mn
Parce que Paul Préboist y joue face à Georges "Arsène Lupin" Descrière.
De Robert Thomas - 83 mn
Parce que c'est la première apparition à l'écran de l'humoriste Stéphane Guillon, même pas 20 ans à l'époque.
De Michel Gérard - 82 mn
Parce que le réalisateur Georges Lautner et le scénariste Francis Veber se sont inspirés de la déferlante du cinéma pornographique américain ("Gorge profonde" et "Derrière la porte verte" en 1972).
De Georges Lautner - 102 mn
Parce que les Martin Circus - ici vedettes ! - apparaissaient déjà dans Les Bidasses en folie
De Christian Caza - 90 mn
On pourra se rappeler que Pierre Jolivet - excellent réalisateur - a commencé sa carrière devant la caméra des autres.
De Gérard Poteau - 87 mn
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