Inclus dans l'abonnement
Parce que c'est le combat d’un jeune homme qui cherche à se reconstruire et le premier rôle d'Anthony Bajon (Chien de la casse).
De Cédric Kahn - 102 mn
Parce que les films capables de transformer les maths en spectacles sont peu nombreux
De Charlotte Silvera - 99 mn
Parce que le film espagnol de langue a récolté 10 Goyas dans son pays sans pour autant, de façon curieuse, sortir dans les salles en France
De Angel Alonso - 86 mn
Pour la bonne humeur constante qui se dégage de chaque séquence de ce film.
De Arild Fröhlich - 84 mn
Parce que si Le Prêteur sur gages n’est pas le film le plus connu de l’immense Sidney Lumet, c’est l’un de ses meilleurs.
De Sidney Lumet - 111 mn
Parce que pour son premier film, Camille Fontaine offre à Virginie Efira le rôle d’une mère qui se noie dans le mensonge pour protéger les siens.
De Emmanuelle Cuau - 82 mn
Parce que ce 1er long métrage d'animation (1926) fut source d'inspiration pour Walt Disney.
De Lotte Reiniger - 64 mn
Parce que c'est une odyssée bouleversante et poétique avec des acteurs amateurs stupéfiants.
De Sean Baker - 107 mn
Parce que le film de Charlotte Silvera est aussi un témoignage sur l'univers carcéral des années 80
De Charlotte Silvera - 97 mn
Parce que la violence et la délinquance des plus jeunes ne sont pas des fatalités dans les favelas.
De Sérgio Machado - 98 mn
Parce qu'on rêve tous d'un jumeau qui fait toutes nos corvées
De Marcus H. Rosenmüller - 89 mn
Parce que des compagnies japonaises ont refusé de travailler sur les séquences d'animation du film, en raison de sujets (le mal-être adolescent et le suicide) trop sensibles dans leur pays.
De Mihály Schwechtje - 98 mn
Parce que la rue des Prairies existe bien à Paris (dans le vingtième arrondissement), mais ce n’est pas celle qu’on voit dans le film.
De Denys de La Patellière - 87 mn
Parce que le réalisateur Richard Balducci, scénariste du "Gendarme de Saint-Tropez" et spécialiste de la comédie franchouillarde, a quand même débuté sa carrière en jouant dans "A bout de souffle".
De Richard Balducci - 97 mn
Parce que l'auteur du film a inventé de toute pièce un pays de l'Est, la Sdorvie, avec sa propre langue, ses traditions, sa musique (le groupe de rap Sdorvia Desko) etc.
De Raphaël Cherkaski - 92 mn
Parce que l'art de l'ellipse est ici magistral : on peut bien changer d'époque et d'année, jamais on ne perd le fil de l'histoire.
De Rémi Bezançon - 108 mn
Uniquement disponibles à la carte
Emissions et entretiens