Quand Losey rencontre Pinter et quand Pinter rencontre Bogarde. Le film qui redonnera une notoriété internationale à son auteur, un discours encore brûlant sur le pouvoir et la domination.

Parce qu'Yvan Attal était présent dans le projet dés l'écriture du scénario.

Parce que pour ce film, Pasolini s'y est défini comme un"commis voyageur"

Pour la bonne humeur constante qui se dégage de chaque séquence de ce film.

Parce qu'une grande partie des scènes ont été improvisées par les interprètes en se basant sur leur ressenti : les deux actrices principales ne se sont ainsi jamais rencontrées avant de tourner leur première scène ensemble.

Parce qu’on aime ce mélange étonnant de Harry Potter et Chérie J’ai rétréci les gosses !

Alain Corneau transpose l’univers de Jim Thompson, ses meurtres minables et ses escrocs dérisoires, dans la banlieue parisienne qui se constitue alors. Nous sommes en 1978 et Patrick Dewaere est magnifique.

Parce qu'on réalise tout à la fin, que le film ne comporte en fait que quatre personnages.

Parce que quoi de plus jouissif qu'un film dévoilant la réalité burlesque et décadente d'un prestigieux festival de cinéma ?

Parce que le destin de D'Artagnan intéresse aussi les jeunes Néerlandais.

Pour la pureté de la relation humaniste entre un père et son fils.

Parce que la grande scène d'ouverture dans la Fenice (l'opéra de Venise) a servi de modèle aux architectes et historiens qui ont restauré ce lieu après l'incendie qui l'a ravagé en 1996.

Parce qu’il ne s’agit rien de moins que d’un des plus grands films de Lumet, d’un des plus grands rôles de Pacino, et d’un chef d’oeuvre du cinéma américain des années 70.

Parce que la bande originale est un mélange de musique classique (Mozart, Bach) et de northern soul.