L'ARBRE À VOEUX

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Au départ du film, il y a le désir de deux productrices australiennes, Kristen Souvlis et Nadine Bates, qui souhaitaient voir la faune et la flore australienne à l’écran. Exit donc les écureuils, hérissons et les prairies verdoyantes !   

Au lieu du plus traditionnel ours ou lapin, l’héroïne de l’histoire est Kerry, une jeune opossum à queue en anneau, accompagnée de Yarra le lézard à collerette ou d’Augustus le crapaud bœuf. L’équipée ne traverse pas de belles forêts mais plutôt les étranges paysages australiens, passant du marécage aux espaces désertiques et broussailleux.  

A la réalisation du film, on trouve Ricard Cussó Judson, metteur en scène de spectacles vivants dans le monde entier avant de travailler pour le studio Like A Photon Creative et de réaliser L’arbre à vœux.  

 
Dans le même genre vous pouvez trouver HOPPER ET LE HAMSTER DES TÉNÈBRES (pour son animal principal original et aventurier) ou encore JACK MIMOUN ET LES SECRETS DE VAL VERDE (pour son héros qui se rêve en Indiana Jones !).

L’arbre à vœux est le premier film d’une franchise d’animation initiée en 2019 en Australie, « Les contes de la Cité Sanctuaire », et développée notamment par le co-producteur Ryan Greaves.    

Explorant toujours la vie trépidante des habitants de la Cité Sanctuaire, le film suivant, Daisy Quokka s’intéresse à une autre héroïne prête à tout pour remporter « Les jeux les plus effrayants du monde ». Après l’opossum Kerry, le quokka est un autre petit marsupial, de la taille d’un chat, dont la bouille extrêmement mignonne (parce qu’il a l’air d’avoir un sourire permanent, il est surnommé « l’animal le plus heureux du monde ») saura ravir les jeunes spectateurs.  

Enfin, dans toujours dans la famille des marsupiaux, Maggie, une maman Wombat (marsupial fouisseur célèbre pour ses crottes cubiques… Si si…) devient malgré elle l’héroïne de la ville sous le nom de Combat Wombat.