SEVEN SWORDS en VOD
- De
- 2005
- 147 mn
Ce film n’est pas disponible
Parce que ce film de sabre - signé Tsui Hark - a été tourné sur l'authentique Mont Tian
Début du XVIIe siècle : les Mandchous de la dynastie Ching imposent une loi martiale, interdisant la pratique des arts martiaux dans tout le Nord-ouest de la Chine. L’ex-général Wind Fire y voit une opportunité de s’enrichir en massacrant des villageois hors-la-loi pour toucher les récompenses. Alors que Wind fire s’apprête à attaquer le village martial, un ancien exécuteur sort...
Ce film n’est pas disponible
- Aventure / Action
- Chine | Hong-Kong
- Tous publics
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Présenté à Venise en 2005, Seven swords devait marquer le retour du Hongkongais Tsui Hark au premier plan du cinéma chinois. En adaptant un roman d’arts martiaux très populaire, il espérait lancer une série de films en plusieurs épisodes à la manière du Seigneur des anneaux. Seven swords devait en être le pilote, en même temps qu’un porte étendard d’autant plus prestigieux qu’il s’inpire des Sept samourais de Kurosawa, le film qui a donné envie à Tsui Hark de faire du cinéma.
Hélas, emporté par son ambition, le hong kongais a filmé une histoire qui ne pouvait pas tenir en moins de quatre heures, une durée impraticable pour ses commanditaires qui lui ont imposé de le réduire à deux heures trente, la limite de rentabilité pour une exploitation en salles. Tel quel, le film en souffre : trop court, trop dense, manquant d’espace pour respirer, il paraît paradoxalement trop long. Il en reste quand même une galerie de personnages étonnants, interprétés par des acteurs qui n’ont jamais été aussi bien servis, et une succession de scènes virtuoses, dont la beauté sidérante ne peut échapper à personne.
Hélas, emporté par son ambition, le hong kongais a filmé une histoire qui ne pouvait pas tenir en moins de quatre heures, une durée impraticable pour ses commanditaires qui lui ont imposé de le réduire à deux heures trente, la limite de rentabilité pour une exploitation en salles. Tel quel, le film en souffre : trop court, trop dense, manquant d’espace pour respirer, il paraît paradoxalement trop long. Il en reste quand même une galerie de personnages étonnants, interprétés par des acteurs qui n’ont jamais été aussi bien servis, et une succession de scènes virtuoses, dont la beauté sidérante ne peut échapper à personne.
Dans le même genre vous pouvez trouver LES SEPT SAMOURAIS ou encore LES SEPT MERCENAIRES .