JACQUES MESRINE : PROFESSION ENNEMI PUBLIC en VOD
- De
- 1984
- 93 mn
Ce film n’est pas disponible
Qui était vraiment Jacques Mesrine ? L’ennemi public numéro 1, gangster multirécidiviste et braqueur de génie, savait étonnamment séduire ses contemporains au point d’avoir été en tête de sondages d’opinion, l’élisant « Homme de l’année » ! Hervé Palud enquête, avec Gilles Millet (qui l’a rencontré), sur la vraie personnalité de ce citoyen presque bonhomme...
Ce film n’est pas disponible
- Documentaire
- France
- - 12 ans
Réalisé par
Avec
1 MIN AVANT
2 MIN APRÈS
BONUS
Les + de filmo
1 MIN AVANT
Un homme seul qui ose braver, voire ridiculiser, la police de tout un pays et l'ordre établi d'un gouvernement conservateur ne peut que fasciner. Comme par ailleurs, en incroyable mégalo qu'il était, Mesrine travaillait en permanence à sa propre légende, près de 30 ans après sa mort, nul n'a oublié son destin hors norme. Il est vrai qu'il jouait comme personne aux gendarmes et au voleur (annonçant, sitôt arrêté, une coupe de champagne à la main, qu'il s'évaderait très vite). Il est vrai aussi qu'il cultivait à dessein un petit côté Robin des Bois, laissant un billet à une grand-mère lors d'un braquage, ou baisant la main de son avocate, en signe d'excuses, en plein milieu d'une évasion.
Le gangster avait établi avec la presse un lien direct et récurrent unique, allant jusqu'à poser armé pour des photographes. Le film que vous allez découvrir utilise habilement des enregistrements audio de sa voix effectués à l'occasion d'une interview pour Libération. L'audace du personnage ne cesse d'impressionner, son insolence et son panache aussi. Notamment lorsqu'il entrevoit sa mort en cours d'évasion : « Si je meurs en haut du mur, ce sera en riant, parce que je mourrai libre ». Libre ou pas, il n'est pas mort en riant...
Le gangster avait établi avec la presse un lien direct et récurrent unique, allant jusqu'à poser armé pour des photographes. Le film que vous allez découvrir utilise habilement des enregistrements audio de sa voix effectués à l'occasion d'une interview pour Libération. L'audace du personnage ne cesse d'impressionner, son insolence et son panache aussi. Notamment lorsqu'il entrevoit sa mort en cours d'évasion : « Si je meurs en haut du mur, ce sera en riant, parce que je mourrai libre ». Libre ou pas, il n'est pas mort en riant...
Dans le même genre vous pouvez trouver THE WEATHER UNDERGROUND (SAM GREEN, BILL SIEGEL, USA-2002) ou encore LA BANDE À BONNOT (PHILIPPE FOURASTIÉ,FRANCE-1969) .