LOST IN TRANSLATION en VOD
- De
- 2004
- 98 mn
Ce film n’est pas disponible
Parce que de tous ses films, c'est celui que Bill Murray préfère
Bob Harris, un acteur en pleine crise identitaire, se rend à Tokyo pour tourner un spot publicitaire. Dans son hôtel de luxe, il rencontre Charlotte, une toute jeune Américaine oisive délaissée par son récent mari, photographe de mode. Une tendre complicité naît entre les deux « jetlagués » qui se posent des questions sur le sens de leur vie.
Ce film n’est pas disponible
- Comédie
- Japon | Etats-Unis
- Tous publics
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Un homme mûr et une jeune femme : deux Américains à Tokyo. Le décalage horaire, les éternelles questions existentielles qui, elles, n'ont pas d'âge... C'est incroyable comme dès sa deuxième réalisation après The Virgin Suicides, Sofia Coppola, fille de..., réussit à capter des sentiments diffus d'angoisse, de vertige et de connivence, et à tisser une drôle de comédie sentimentale made in Japan en évitant tous les clichés.
Il faut dire qu'elle dispose d'un duo d'acteurs vraiment exceptionnel. C'est ce film qui fit exploser Scarlett Johansson, révélée toute jeune dans L'Homme qui murmurait à l'oreille des chevaux de Robert Redford. Dès le générique de Lost in translation, la blonde pulpeuse est divine. Avec sa petite culotte couleur chair, elle impose un nouveau sex appeal, mélange très subtil de sensualité et de naturel qui fera ensuite des dégâts dans Match Point de Woody Allen.
Mais il faut surtout parler de Bill Murray, le héros de Un jour sans fin, qui mériterait l'Oscar de la lassitude. Mélancolique, las, usé, avec sa perpétuelle gueule d'insomniaque, il maîtrise toutes les nuances de la fatigue. Le voir, complètement abattu, tenter de communiquer avec un réalisateur de pub japonais est un film en soi ! Lost in translation est LE film qui donne envie d'être «jetlagué».
Il faut dire qu'elle dispose d'un duo d'acteurs vraiment exceptionnel. C'est ce film qui fit exploser Scarlett Johansson, révélée toute jeune dans L'Homme qui murmurait à l'oreille des chevaux de Robert Redford. Dès le générique de Lost in translation, la blonde pulpeuse est divine. Avec sa petite culotte couleur chair, elle impose un nouveau sex appeal, mélange très subtil de sensualité et de naturel qui fera ensuite des dégâts dans Match Point de Woody Allen.
Mais il faut surtout parler de Bill Murray, le héros de Un jour sans fin, qui mériterait l'Oscar de la lassitude. Mélancolique, las, usé, avec sa perpétuelle gueule d'insomniaque, il maîtrise toutes les nuances de la fatigue. Le voir, complètement abattu, tenter de communiquer avec un réalisateur de pub japonais est un film en soi ! Lost in translation est LE film qui donne envie d'être «jetlagué».
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