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Rosemarie's schleckerland
ROSEMARIE'S SCHLECKERLAND en VOD
- De
- 1978
- 78 mn
Ce film n’est pas disponible
Parce que la Pension Paradis (Munich) est désormais célèbre pour l'amateur de X véritable
Guidé par un chauffeur de taxi obsédé sexuel, un représentant en WC découvre les endroits les plus chauds de Munich.
Ce film n’est pas disponible
- Adulte
- Allemagne
- - 18 ans
1 MIN AVANT
2 MIN APRÈS
Les + de filmo
1 MIN AVANT
Les seins ne sont pas refaits, la chair est blanche, et le hardeur n’est vraiment pas vraiment bellâtre dans Rosemarie’s Schleckerland, porno allemand tourné en 1978 et sortit dans les salles X de France et de Navarre le 31 décembre 1980 sous le titre les Jeux du sexe.
On nage dans la comédie teutonne hard et le vaudeville cochon avec cette histoire d’un représentant en WC qui découvre les dessous sexuels de Munich avec pour guide un chauffeur de taxi porté sur la foufoune. Bordel, club privé, peep show … les parties de jambes en l’air s’accumulent dans ces endroits de stupre et de luxure où l’on s’amuse, entre autres, à faire des concours de jets de sperme. Avec sa VF d’époque, ses zooms gratuits, sa musique vaguement easy listening et ses petites rayures sur la pellicule, Rosemarie’s Schleckerland nous propulse dans l’ambiance des cinémas pornos des années 70. Y compris à travers des dialogues foutrement abscons. Du genre : « Toutes les parties de jambes en l’air s’accompagnent de raffinements excitants ». Ou encore : « Je trouve que ça manque de classe de prendre son petit-déjeuner la bite à l’air ».
Avec ses chemises vertes, ses coussins jaunes et ses draps de lit bleu, le décorum du film est aussi un témoignage kitsch d’un temps révolu où les gens avaient décidément mauvais goût en matière de meublés ou d’habillements. Quant au sexe, il est totalement festif et décomplexé, à l’image de ces pornos d’antan ou l’amour physique se pratiquait dans la joie et l’allégresse générale. Heureuse époque !
On nage dans la comédie teutonne hard et le vaudeville cochon avec cette histoire d’un représentant en WC qui découvre les dessous sexuels de Munich avec pour guide un chauffeur de taxi porté sur la foufoune. Bordel, club privé, peep show … les parties de jambes en l’air s’accumulent dans ces endroits de stupre et de luxure où l’on s’amuse, entre autres, à faire des concours de jets de sperme. Avec sa VF d’époque, ses zooms gratuits, sa musique vaguement easy listening et ses petites rayures sur la pellicule, Rosemarie’s Schleckerland nous propulse dans l’ambiance des cinémas pornos des années 70. Y compris à travers des dialogues foutrement abscons. Du genre : « Toutes les parties de jambes en l’air s’accompagnent de raffinements excitants ». Ou encore : « Je trouve que ça manque de classe de prendre son petit-déjeuner la bite à l’air ».
Avec ses chemises vertes, ses coussins jaunes et ses draps de lit bleu, le décorum du film est aussi un témoignage kitsch d’un temps révolu où les gens avaient décidément mauvais goût en matière de meublés ou d’habillements. Quant au sexe, il est totalement festif et décomplexé, à l’image de ces pornos d’antan ou l’amour physique se pratiquait dans la joie et l’allégresse générale. Heureuse époque !
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