L'INNOCENCE

en VOD

Parce que le récit non-linéaire et avec plusieurs points de vue rappelle un classique du cinéma japonais, et même mondial : Rashōmon d'Akira Kurosawa (1950).

Parce qu' Hirokazu Kore-eda a une nouvelle fois été récompensé à Cannes après la Palme d'or d'Une affaire de famille en 2018 : L'Innocence a reçu le prix du scénario et la Queer Palm.

Parce que c'est la première fois que Kore-eda réalise un film dont il n'a pas écrit lui-même le scénario. Un scénario d'ailleurs primé à Cannes.

Parce que les deux rôles principaux sont tenus par de très jeunes acteurs qui font preuve d'une maturité et d'un talent impressionnants.

De retour sur l’archipel après les incursions assez oubliables en France (La Vérité, 2019) et en Corée (Les Bonnes Etoiles, 2021), Kore-eda renoue avec ses thématiques de prédilection, dans un récit choral permettant une radiographie collective accolée au questionnement ...

Une mère élevant seule son fils, Minato, après le décès de son mari est de plus en plus préoccupée par le comportement problématique de celui-ci, et soupçonne que la cause en soit le comportement abusif de l’un de ses professeurs, Hori. Elle prend donc les choses en ...

Par peur de tourner en rond, sans doute, de s’enferrer dans un registre ou une certaine routine, Hirokazu Kore-eda a eu besoin de changer, de lieu tout d’abord en traversant les frontières (la France pourLa Vérité, puis la Corée pour Les Bonnes étoiles), mais également ...