Vétéran de la Seconde Guerre mondiale, Ogroff y a perdu un œil et une partie de son cerveau. Le visage caché derrière un masque de cuir, ce bûcheron habite une cabane dans une forêt de la région d’Orléans et massacre à la hache tous ceux qui y pénètrent.
Il commence par découper en morceaux de famille de vacanciers, puis un groupe de hippies.
Une jeune femme...
Présenté en avant-première mondiale lors de la première édition du festival du Super 8 organisé par la revue Mad Movies à Paris en 1983, le film Ogroff jouit depuis cette date d'un culte, certes modeste, mais non démenti. Auréolé du titre de premier slasher français, ...
Lire la suite8Par Claire MagentaLa quintescence du narnar ultime à la française, Norbert Moutier notre sauveur, merci à toi pour ce chef d'oeuvre qui a fait couler tant de larmes à toute la communauté des nanardeux et qui rend jalouse les plus grandes stars philippines du genre... Merci ! ...
Lire la suite9Par Laurent Di VincenzoOgroff est de ces films qui marquent au fer rouge la cervelle des spectateurs égarés mais dont chaque nouveau visionnage est pourtant une quasi-totale redécouverte. Une porte ouverte vers une autre dimension qu'on ne parvient pas vraiment à situer dans la galaxie cinématographique. ...
Lire la suite8Par Pascoul RelléguicRéalisé par
Avec
Jean-Pierre Putters
Un autre slasher français, où, comme dans les films américains, un groupe de jeunes se fait massacrer en forêt.
N.g. Mount
Modèle affiché de Mad Mutilator, le film de Tobe Hopper reste, 40 ans après sa sortie, un monument de terreur (et d'humour noir).
