L'HOMME QUI VENAIT D'AILLEURS en VOD
- De
- 1977
- 117 mn
Disponible avec les tickets À LA CARTE
LOUER dès 2.99€
ACHETER dès 7.99€
Parce que les morceaux proposés par Bowie pour le film - et rejetés- finirent par inspirer son album "Low"
Envoyé sur Terre pour trouver une solution au manque d'eau qui décime les habitants de sa planète, un extraterrestre à l'aspect humanoïde est confronté a la folie des humains et au souvenir nostalgique de sa femme et de ses deux enfants qui l'attendent.
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- Science-fiction
- Royaume-Uni
- Tous publics
- VF
1 MIN AVANT
2 MIN APRÈS
LES AVIS SENS CRITIQUE
Les + de filmo
1 MIN AVANT
Entre 1968, année de 2001 L’Odyssée de l’espace et 1977, année de la Guerre des étoiles, le cinéma de science fiction et d’anticipation aura eu le bon goût d’être novateur, constructif et intelligent via des films comme la Planète des singes, Phase 4, Abattoir 5 et Zardoz. Ou encore le cultissime L’Homme qui venait d’ailleurs, que vous allez-voir maintenant.
Avec son physique androgyne évoquant à la fois une femme sans doudoune et un homme sans zizi, David Bowie, ici dans son premier rôle à l’écran, interprète un être humanoïde qui débarque sur terre pour rechercher l’eau qui manque à sa planète asséchée. Le réalisateur Nicolas Roeg casse tellement les règles traditionnelles de la narration qu’on ne sait plus si son film dure deux secondes, deux heures, deux jours, deux ans ou deux millions d’années.
En tout cas, L’homme qui venait d’ailleurs fascine autant qu’il interroge. Parce qu’on y devine en écho quelque unes des grandes préoccupations de l’époque comme la dénonciation des pouvoirs politiques en place ou les multiples questionnements sur la perte d’identité. Ballade étrange dans la mémoire d’un extra-terrestre mélancolique, constat navrant d’une société égoïste repliée sur elle-même, pur délire de cinéma expérimental, L’homme qui venait d’ailleurs est donc tout ça à la fois. Et peut être même plus encore…
Avec son physique androgyne évoquant à la fois une femme sans doudoune et un homme sans zizi, David Bowie, ici dans son premier rôle à l’écran, interprète un être humanoïde qui débarque sur terre pour rechercher l’eau qui manque à sa planète asséchée. Le réalisateur Nicolas Roeg casse tellement les règles traditionnelles de la narration qu’on ne sait plus si son film dure deux secondes, deux heures, deux jours, deux ans ou deux millions d’années.
En tout cas, L’homme qui venait d’ailleurs fascine autant qu’il interroge. Parce qu’on y devine en écho quelque unes des grandes préoccupations de l’époque comme la dénonciation des pouvoirs politiques en place ou les multiples questionnements sur la perte d’identité. Ballade étrange dans la mémoire d’un extra-terrestre mélancolique, constat navrant d’une société égoïste repliée sur elle-même, pur délire de cinéma expérimental, L’homme qui venait d’ailleurs est donc tout ça à la fois. Et peut être même plus encore…
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