Carte Postale d'Océanie

films en streaming et en VOD

Parce que les décors, somptueux autant que dangereux, sont tout bonnement sublimes, presque envoûtants, et que Simon Baker y trouve rien de moins que son plus grand rôle.

Parce qu’à partir de cette thématique ancrée dans le fantastique, celle de l’ami imaginaire, l’Australienne Del Katryn Barton parvient à tirer une fable sociologique extrêmement concrète...

Parce que la réalisatrice et actrice Leah Purcell est aussi l'autrice de la pièce de théâtre qui a inspiré le film, pièce elle-même basée sur un classique de la littérature australienne.

Parce que c'est un revenge movie émouvant et brutal dans les magnifiques paysages sauvages de Tasmanie.

Le film nous rappelle combien nos promesses d’enfance sont précieuses et que nos rêves vibrent en chacun de nous !

Parce que Daniel Radcliffe a vraiment bien changé depuis Harry Potter.

Cette version redux, remaniée en 2013 par le réalisateur lui-même et le monteur, inclut des scènes qui avaient été retirées des copies diffusées à l'étranger par les producteurs sous prétexte d'une violence excessive.

Parce que la réalisatrice a présenté son film comme une version d'Impitoyable de Clint Eastwood avec une machine à coudre.

Parce que c’est à la fois le quasi-autoportrait de la première star aborigène de l’histoire du cinéma et une réflexion sur ce qu’est devenue l’Australie.

Parce que le polar de Jane Campion s'inspire autant de French Connection que de Taxi Driver.

Parce qu'en 1994, "L'âme des guerriers" a remporté plus de succès en Nouvelle-Zélande que "Jurassic Park".

Parce que c'est un bon exemple d'Ozploitation, la série B australienne des années 80-90.

Parce que dès son 1er film, Jane Campion rentrait en compétition à Cannes.

Parce que si un vrai razorback fut effectivement élaboré grandeur nature, il n'apparaît qu'une seconde sur l'écran

Parce que ce film australien est réalisé par l'acteur anglais David Hemmings, le photographe du célébrissime "Blow up" d'Antonioni.

Parce que le film de Ted Kotcheff avec Donald Pleasence est rien de moins que l'un des immenses classiques de l'épouvante.