Drames

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Parce qu'avec son premier film, la réalisatrice de Simple comme Sylvain signe une comédie barrée !

Parce que ce film est une nouvelle preuve éclatante de la vitalité du cinéma hongrois.

Parce que derrière un simple trajet dans l'habitacle d'une voiture se dessine un sujet bien plus glaçant.

Parce que Lazlo Nemes y affirme un peu plus la singularité de son regard et sa volonté de parti pris esthétique.

Parce que la crise du logement peut abriter de splendides mélos modernes.

Parce qu'on aime le cinéma indépendant américain

Parce qu'il s'agit d'une histoire d'amour bouleversante et tragique sous fond de haine raciale dans les Etats-Unis des années 1970.

Parce qu'entre science-fiction et drame intime, l'histoire navigue sans jamais hésiter à trouver sa voie...

Parce que Daniel Radcliffe a vraiment bien changé depuis Harry Potter.

Parce que c'est une histoire presque vraie, celle de la réalisatrice, et de son apprentissage de l'injustice.

Parce que Rupert Everett devant et derrière la caméra rend un hommage savoureux à un des génies persécutés de la perfide Albion...

Parce que c'est l'histoire vraie d'une nouvelle génération de rockers dans le Leningrad des années 80.

Parce que 1h31 chrono : tout est dit, montré et démontré... Un récit tourné à l'os qui marque pour longtemps...

Parce qu'avec ce brillant premier long métrage, Lukas Dhont a obtenu la Caméra d'or au Festival de Cannes en 2018.

Parce qu'après avoir révélé Jennifer Lawrence dans Winter's Bone, la réalisatrice Debra Granik met ici en lumière l'immense talent de Thomasin McKenzie.

Parce que des compagnies japonaises ont refusé de travailler sur les séquences d'animation du film, en raison de sujets (le mal-être adolescent et le suicide) trop sensibles dans leur pays.

Parce que la manière dont les rues de Paris sont filmées la nuit confère au film une dimension esthétique très particulière, d'où ressortent un danger et une fascination quasi palpables...

Parce que les mystères abondent dans ce film qui multiplie les apparitions comme les disparitions avec gourmandise et malice.

Parce que ce film est basé sur un texte de seulement 25 pages, ce qui amené le réalisateur à collaborer au scénario avec l'auteur de la nouvelle pour en développer l'histoire.

Parce que le décor des salles et cercles de jeu dans lequel se déroule l'intrigue est rarement montré de cette manière au cinéma...

Parce qu'on y voit un sosie de Donald Trump en Lituanie s'emparer d’un élevage de cochons.

Parce qu'avec ce grand et beau rôle, Daniel Craig prouve une nouvelle fois qu'il est bien plus qu'un simple agent secret au service de sa majesté.

Parce que Christian Petzold adapte et modernise avec un brio un grand roman politique écrit sous l'Occupation et se déroulant durant cette période.

Parce que Babak Jalali s'affirme comme un réalisateur sans frontière avec un cinéma plein de curiosité et d'empathie.

Parce que le film a failli être une comédie avant que les frères Renier en fassent un thriller.

Parce que c'est le combat d’un jeune homme qui cherche à se reconstruire et le premier rôle d'Anthony Bajon (Chien de la casse).

Parce que le cinéaste Mahamat-Saleh Haroun a également été ministre de la culture du Tchad entre 2017 et 2018.

Parce que Diane Kruger a eu le prix de l'interprétation à Cannes pour ce film.

Parce que c'est l'adaptation raffinée du roman de Chantal Thomas sur l’arrangement imaginé par le Régent de France pour neutraliser l’Espagne.

Parce que c'est une odyssée bouleversante et poétique avec des acteurs amateurs stupéfiants.

Parce que Menina est le premier film d’une réalisatrice franco-portugaise, Cristina Pinheiro, encouragée dans l’écriture par Michel Deville lui-même.

Parce qu'Anne Fontaine a su garder l'essentiel du roman d'Edouard Louis mais aussi s'en extraire pour aller au bout de son propre récit.

Parce que ce film turc aborde la question difficile du suicide assisté, tout en nous offrant deux beaux portraits de femmes.

Parce que ce film, célébré au festival de Berlin, est une ode à la vie, un débordant appel à la chaleur humaine.

Parce que Vincent Macaigne, que l'on connaissait grand acteur, s'affirme comme un grand réalisateur.

Parce que le talentueux Gilles Bourdos adapte l’oeuvre de Richard Bausch, romancier et nouvelliste américain, célèbre outre-Atlantique.

Parce que pour les paysages fabuleux des montagnes du Tyrol.

Parce que vous devez voir ce film avec cette idée en tête : le personnage de Jennifer Lawrence serait Mère nature, la Terre abusée par Dieu et les humains.

Parce que la carrière de l'ex-star de la saga "Twilight" prend décidément un tournant de plus en plus indépendant et passionnant.

Parce que ce film du réalisateur mexicain Michel Franco a obtenu en 2017 à Cannes avec le prix spécial du jury Un certain regard.

Parce que le cinéma iranien continue de surprendre le monde par la liberté et sans doute les risques pris par ses réalisateurs pour évoquer sans fard les sujets les plus polémiques...

Parce qu'inspiré de faits réels, le film montre le quotidien exigeant des sapeurs-pompiers, et donne à Roschdy Zem et Emilie Dequenne des rôles subtils et intenses dans un drame contemporain.

Parce que Sofia Coppola livre le point de vue féminin dans une histoire déjà virilement traitée par Don Siegel et Clint Eastwood.

Parce que Romain Duris est bouleversant dans ce personnage d'homme en quête de sens.

Parce que l'actrice Ella Rumpf, vue dans "Grave" et "Succession", est rien de moins que la grande star de demain.

Parce que le titre original se traduit de façon littérale et léonienne par "Il était une fois en Allemagne".

Parce que pour son premier film, Camille Fontaine offre à Virginie Efira le rôle d’une mère qui se noie dans le mensonge pour protéger les siens.

Parce que ce portrait d'un génie des maths est la première fiction tournée au Trinity College de Cambridge.

Parce que le couple principal débute au cinéma : Karim El Hayani est un ancien boxeur et Faten Kesraoui a rencontré par hasard le réalisateur dans la rue.

Parce que si Chet Baker est apparu au cinéma, qu’il a composé des musiques de film et inspiré des documentaires, c’est la première fois qu’il apparaît au cinéma sous les traits d’un acteur (Ethan Hawke).

Parce que cette fable émancipatrice milite pour la scolarisation des femmes indiennes.

Parce qu'il s'agit sans aucun doute du plus beau rôle de Kristen Stewart, qui est de toutes les scènes, et même de tous les plans.

Parce que le film (présenté à la Berlinale 2016) a été réalisé par Vincent Perez himself.

Parce que les deux réalisateurs sont également musiciens (ce qui est raccord avec le sujet du film) et ont composé la musique de leur court métrage.

Parce qu'il y a l'intégration, les différences, la culture : ce "petit" film dit beaucoup sur les grands principes sociaux...

Parce que Marc Fitoussi a réussi un formidable film sur le passage à l'âge adulte.

Parce que c'est un film qu'on prend en plein coeur.

C'est tout simplement l'un des plus beaux films de l'année, gorgé de sens autant que d'émotion

Parce que le film dégage un délicieux parfum doux-amer qui ne peut pas laisser de marbre.

Parce qu’un sujet en apparence commun (la séparation d’un couple) devient devant la caméra de Joachim Lafosse un drame sans concession.