Drames

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Parce que ce film hongrois, qui glisse subtilement du drame au surnaturel, a eu les honneurs du festival de Berlin.

Parce qu’il s’agit du premier film estonien à avoir été nommé aux Oscars (c’était en 2015).

Parce que c'est une grande histoire d'amour portée par une actrice d'exception, Saoirse Ronan, ici au sommet de son Art.

Parce que ce thriller dramatique est inspiré du fait divers Elizabeth Fritzl qui a fait trembler l'Autriche en 2008.

Parce que le scénario est tiré du récit authentique de Madeleine Pauliac, résistante et médecin-chef à l'Hôpital français de Varsovie.

Parce que l'histoire se déroule entre Paris et l'Italie, mais absolument pas en Alaska.

Parce qu'il est trop rare de voir un western porté par une authentique héroïne, ici interprétée avec fougue par Natalie Portman dans un rôle qui lui tient particulièrement à coeur.

Parce que le film a failli s'appeler forget me not, du nom de la fleur de myosotis

Parce que filmer la sexualité adolescente de manière crue n'empêche pas de donner chair à un portrait de la jeunesse.

Parce qu'on y retrouve un trio inédit qui va aller de situations délicates en révélations inattendues...

Parce que, sans jamais tomber dans le pathos, le film d'Ounie Lecomte explore avec talent les douleurs d'enfance, et parce que Céline Salette est magistrale.

Parce que c'est la success story d'une américaine ordinaire qui inventa un balai-brosse révolutionnaire !

Parce que l’anorexie mentale au coeur du film est racontée par une réalisatrice qui a été touchée par cette maladie.

Parce qu'on peut y entendre la chanson Спокойная ночь (Bonne nuit), de Kino, groupe emblématique de la fin de l'URSS.

Parce c'était la 1ère fois depuis 60 ans qu'un film était tourné dans l'enceinte du Parlement britannique.

Parce que ce chef d'oeuvre du cinéma hongrois a obtenu l'Oscar du meilleur film en langue étrangère en 2016 et le Grand Prix à Cannes.

Parce que la réalisatrice a présenté son film comme une version d'Impitoyable de Clint Eastwood avec une machine à coudre.

Parce que l’Éthiopie y est joliment racontée via ce conte d’une amitié entre un garçon et son mouton.

Parce que Catherine Frot incarne une Castafiore plus vraie que nature !

Parce que c’est la révélation d’une grande cinéaste, Chloé Zhao, oscarisée pour Nomadland quelques années plus tard.

Parce que Noah Baumbach met en scène comme personne une crise existentielle interprétée à merveille par un casting luxueux (Adam Driver, Ben Stiller, Naomi Watts...).

Parce que ce thriller raconte, en un plan unique de 2h, une nuit à Berlin qui dégénère.

Parce que le sadomasochisme est une discipline délicate à illustrer au cinéma. Ce film y parvient en douceur.

Parce que pour la reconstitution impeccable du milieu des tournois d'échecs.

Parce que la réalité rattrape la fiction : le thème douloureux des clandestins naufragés version cinéma.

Parce que les chroniques d'adolescence sensibles et réalistes sont rares.

Parce que Benedict Cumberbatch est bouleversant dans la peau d'un génie méconnu du 20e siècle.

Parce que cette relation trouble entre un milliardaire américain et deux champions de lutte est tirée d'une histoire vraie.

Parce que c'est un magnifique film sur la sororité, sujet aussi beau que complexe, aussi important que nécessaire.

Parce que Natalie Beder, comédienne et réalisatrice, dirige et accompagne André Wilms, dans un jeu de deuil et de fantôme tout en douceur.

Parce que Mia Hansen Love revisite en fiction la naissance de la French Touch des années 90 avec les Daft Punk en invités surprise.

Parce que François Ozon est un des plus grands réalisateurs français et il dirige ici Romain Duris.

Parce que c'était la 15ème fois que la pièce de Strindberg était adaptée au cinéma

Parce que ce film - turc et adaptant Tchekhov - décroche la Palme d'Or en 2014.

Pour Nicolas Cage qui nous rappelle ici le merveilleux acteur qu'il peut être.

Parce qu'un face à face entre deux jeunes actrices prometteuses, épatantes : Brie Larson et Stéphanie Beatriz.

Parce qu'après plusieurs courts-métrages réalisés ensemble ou en solo, un premier long métrage, "Jessica Forever", et un second à venir, "Eat the Night", revenons aux sources d'une jeunesse en perte de sens.

Parce que c'est une histoire d'amour complètement improbable mais terriblement passionnelle.

Parce que cette grande aventure burlesque rappelle le génie et la malice des albums de Tintin.

Parce que Stephen Frears a revendiqué l'influence de Billy Wilder, et Steve Coogan celle de Jack Lemmon.

Parce que l'efficacité plus qu'hollywoodienne de ce film sud-coréen est inattendue.

Parce que le titre fait référence à la chanson du groupe Police, dont ce n'est pas la première utilisation au cinéma (souvenez-vous d'Eddie Murphy au début de "48 Heures").

Parce que le réalisateur a accordé beaucoup d'importance aux dialogues, qui sont pléthoriques et inspirés du style très littéraire d'Eric Rohmer.

Parce que c’est un grand film flamand et le César 2014 du meilleur film étranger.

Parce que c'est une version moderne et pour le moins singulière de l'histoire de la Vierge Marie.

Parce que c'est la vraie maison de la vraie Paris Hilton qui apparaît dans le film.

Parce que c'est ce qu'on appelle un film coup de poing.

Parce que ce film islandais fut un blockbuster dans son pays.

Parce que le ton du film de David O.Russell a le ton des comédies romantiques à la fois drôles et cruelles.

Parce qu'au fil des décennies, le projet d'adaptation du roman de Jack Kerouac est passé entre les mains de James Dean, Marlon Brando, Francis Ford Coppola, Gus Van Sant...

Parce que l'étonnant Takaaki Nomi, qui interprète le rôle principal, n'est pas acteur et ne comprenait pas qu'il tournait dans un film.

Parce que ce film sans parole fait la part belle aux musiques envoutantes du compositeur estonien Arvo Pärt.

Parce que le film a reçu deux Léopards d'or (meilleur réalisateur et meilleur acteur) au festival de Locarno.

Parce que les personnages sont criants de vérité et le film remporta le Prix du Jury au Festival de Cannes 2011.

Parce que le film adapte pour la 2ème fois la pièce d'Elena Serquievna

Parce que le film ne commence à parler qu'au bout d'un quart d'heure.

Parce qu'en plus de magnifiques paysages naturels, ce film nous fait découvrir une émouvante histoire vraie.

Parce que le président Ion Iliescu, à la tête de la Roumanie de 1989 à 1996 et de 2000 à 2004, joue ici son propre rôle.

Parce que c'est une odyssée éblouissante dans les limbes Tokyoïtes !

Parce qu'André Dussollier en Staline est aussi impressionnant que Bruno Ganz en Hitler!