Parce que ce long-métrage, porté devant et derrière la caméra par Elena Martín, raconte avec intelligence les troubles d’une sexualité aux racines profondes.

Parce que le film aborde avec intelligence et délicatesse la thématique de la maternité chez les adolescentes et permet à la jeune actrice Carla Quílez de crever l'écran dans son premier rôle !

Parce que ce film choral sur la condition féminine en Bulgarie est un authentique coup de poing qui parle, bien sûr, de toutes les femmes du monde.

Parce que le premier film de Sofia Coppola était une déclaration d'amour à l'adolescence.

Parce que c'est un revenge movie émouvant et brutal dans les magnifiques paysages sauvages de Tasmanie.

Parce qu'avec son premier film, la réalisatrice de Simple comme Sylvain signe une comédie barrée !

Parce que le polar de Jane Campion s'inspire autant de French Connection que de Taxi Driver.

Parce qu'après avoir révélé Jennifer Lawrence dans Winter's Bone, la réalisatrice Debra Granik met ici en lumière l'immense talent de Thomasin McKenzie.

Parce que le film ne commence à parler qu'au bout d'un quart d'heure.

Parce que c'est l'une des plus terrifiantes expériences cinématographiques de ces dernières années.

Parce que Menina est le premier film d’une réalisatrice franco-portugaise, Cristina Pinheiro, encouragée dans l’écriture par Michel Deville lui-même.

Parce que l’anorexie mentale au coeur du film est racontée par une réalisatrice qui a été touchée par cette maladie.

Parce c'était la 1ère fois depuis 60 ans qu'un film était tourné dans l'enceinte du Parlement britannique.

Parce que c'est un film magnifique sur les attaches familiales à travers une vieille tradition chinoise.

Parce que Jane Campion filme comme personne la passion amoureuse entre le poète anglais John Keats et sa fiancée Fanny Brawne.

Parce que ce drame argentin est le premier long métrage d'une réalisatrice prometteuse, récompensée dans plusieurs festivals.

Parce que ce thriller à combustion lente brosse le portrait tout en nuances d’une Turquie loin des cartes postales.

Parce que c'est un film féministe sur une icône américaine, sorti en pleine révolution #metoo.

Parce que cette fable émancipatrice milite pour la scolarisation des femmes indiennes.

Parce qu'on aime le cinéma indépendant américain

Parce que c'est une histoire presque vraie, celle de la réalisatrice, et de son apprentissage de l'injustice.

Parce que ce film d'épouvante dénonce la pratique bien réelle de la fracturation hydraulique, qui est considérée comme dangereuse pour l'environnement.

Parce que Sofia Coppola livre le point de vue féminin dans une histoire déjà virilement traitée par Don Siegel et Clint Eastwood.

Parce que ce film pop et original raconte le passage de l'adolescence à l'âge adulte de Marie-Antoinette.

Parce que c'est la vraie maison de la vraie Paris Hilton qui apparaît dans le film.

Parce que ce biopic était un projet de Rainer Werner Fassbinder, que Margarethe von Trotta a repris après la mort de celui-ci.

Parce que c'est une des rares fictions à dénoncer de l'intérieur le système de prédation et de silence complice révélé lors de l'affaire Weinstein.

Parce que ce film, célébré au festival de Berlin, est une ode à la vie, un débordant appel à la chaleur humaine.

Parce que c'est une version moderne et pour le moins singulière de l'histoire de la Vierge Marie.

Parce qu'on y voit un sosie de Donald Trump en Lituanie s'emparer d’un élevage de cochons.

Parce que c'était la 15ème fois que la pièce de Strindberg était adaptée au cinéma

Parce que la réalisatrice a présenté son film comme une version d'Impitoyable de Clint Eastwood avec une machine à coudre.

Parce que des retrouvailles sont toujours plus belles sur un air de tango.

Parce que c’est la révélation d’une grande cinéaste, Chloé Zhao, oscarisée pour Nomadland quelques années plus tard.

Parce qu’à partir de cette thématique ancrée dans le fantastique, celle de l’ami imaginaire, l’Australienne Del Katryn Barton parvient à tirer une fable sociologique extrêmement concrète...

Parce que le jour où a été abattu le Boeing de Malaysia Airlines (17 juillet) était aussi celui de l'anniversaire de la réalisatrice Maryna Er Gorbach.

Parce que la réalisatrice et actrice Leah Purcell est aussi l'autrice de la pièce de théâtre qui a inspiré le film, pièce elle-même basée sur un classique de la littérature australienne.

Parce que dès son 1er film, Jane Campion rentrait en compétition à Cannes.

Parce que cette satire de la société bulgare est basée sur une étonnante histoire vraie.

Parce que ce bijou argentin raconte avec délicatesse et humour les relations familiales parfois complexes et troublantes.

Ce film choral touche profondément avec ses personnages bien campés. Conçu pour réconforter, il fait chaud au coeur.

Parce que la vie regardée à hauteur d'enfant aura toujours des choses à nous apprendre.

Parce qu'on y retrouve un trio inédit qui va aller de situations délicates en révélations inattendues...

C'est le dernier film d'une figure attachante et originale du cinéma européen, Solveig Anspach.

Parce que Mia Hansen Love revisite en fiction la naissance de la French Touch des années 90 avec les Daft Punk en invités surprise.

Parce que ce film touchant en appelle autant au devoir de mémoire qu'au sens de l'aventure chez des gamins frappés par l'Histoire.

Parce que le scénario est tiré du récit authentique de Madeleine Pauliac, résistante et médecin-chef à l'Hôpital français de Varsovie.

Parce que le couple Nadine et Jean-Louis Trintignant (elle réalisatrice et lui acteur) a tourné ensemble cinq long-métrages de cinéma, un court et deux téléfilms.

Parce que les personnages sont criants de vérité et le film remporta le Prix du Jury au Festival de Cannes 2011.

Parce qu'on adore les films d'Audrey Estrougo !

Parce que c'est sûrement le plus grand film du tandem Jaoui-Bacri.

Parce que le film propose un très émouvant portrait de femme quinqua...

Parce qu'Anne Fontaine a su garder l'essentiel du roman d'Edouard Louis mais aussi s'en extraire pour aller au bout de son propre récit.

Parce que filmer la sexualité adolescente de manière crue n'empêche pas de donner chair à un portrait de la jeunesse.

Parce que la manière dont les rues de Paris sont filmées la nuit confère au film une dimension esthétique très particulière, d'où ressortent un danger et une fascination quasi palpables...

Parce que, sans jamais tomber dans le pathos, le film d'Ounie Lecomte explore avec talent les douleurs d'enfance, et parce que Céline Salette est magistrale.

Parce qu’on rappelle bien qu’une Bruni faisait du cinéma avant l’autre. (et ici comme réalisatrice)

Parce que Mélanie Laurent offre à Gilles Lellouche l'occasion de s'éloigner de ses rôles habituels pour camper la figure masculine d'une histoire passionnelle.

Parce que pour son premier film, Camille Fontaine offre à Virginie Efira le rôle d’une mère qui se noie dans le mensonge pour protéger les siens.

Parce que le premier film de Léonor Serraille offre une occasion en or à Laetitia Dosch de faire la preuve éclatante de sa vitalité, fêlures comprises.

Parce que Sophie Letourneur propose un VERY BAD TRIP au féminin sur fond de festival de cinéma.

Parce que c'est un grand classique des fêtes, servi par un casting de grand luxe.

Parce que le duo amies-ennemies formé par la brune Hafsia Herzi et la rousse Emilie Dequenne fonctionne à merveille.

Parce que le décor des salles et cercles de jeu dans lequel se déroule l'intrigue est rarement montré de cette manière au cinéma...

Parce que pour la reconstitution impeccable du milieu des tournois d'échecs.

Parce que les chroniques d'adolescence sensibles et réalistes sont rares.

Parce que l'idée de ce thriller horrifique percute avec bonheur le style visuel unique de la dessinatrice.

Parce que c'était la première fois que l'on voyait ensemble Isabelle Huppert et André Dussolier sur un écran.

Parce que Yolande Moreau réalise un film poétique et singulier.

Parce que Marguerite Duras trouvait son film raté.

Parce que c'est un film qu'on prend en plein coeur.

Parce que c'est l'unique long métrage réalisé par la romancière Françoise Sagan (on lui doit aussi le court "Encore un hiver" en 1974).

Parce que le film est aussi la dernière apparition de Jocelyn Quivrin sur un écran

L'histoire d'un bataillon de femmes filmé par une femme donne une autre idée des guerres actuelles.

Parce qu'Alice Guy est une artiste fondamentale : la première réalisatrice de l'histoire, et une pionnière du cinéma de fiction.

Parce que ce film muet datant de 1923 est aussi un marqueur de l’Histoire du cinéma.

Parce que c'est un film à la forte portée sociale, l'un des derniers réalisés par l'une des premières réalisatrice américaines à qui la française Alice Guy avait ouvert les portes du cinéma.

Parce que ce proto-film noir est l’ultime film de l’une des rares réalisatrices de l’âge d’or hollywoodien.

Parce que c’est un film important dans l’histoire du cinéma, avec la première apparition du personnage de Charlot à l’écran.

Parce que les ondulations délicates de Mary Ellen Bute ont un charme sensuel et hypnotique irrésistible.

Parce que cette adaptation d’un poème de Goethe est un voyage dans l'irréel et le fantastique signé par l’une des premières réalisatrices françaises.

Parce que ce court-métrage d’Alice Guy, première réalisatrice de l’histoire du cinéma, est une course contre la montre qui a inspiré Buster Keaton.

Parce que ce mélodrame montre que dès 1912, la réalisatrice française Alice Guy utilisait des effets spéciaux.

Parce que la réalisatrice pionnière Alice Guy signe ici un court-métrage novateur au scénario mêlant action, humour et romance.

Parce c’est un mélodrame très poétique tourné aux Etats-Unis, en 1912, par la française Alice Guy.

Parce que c’est, en 1912, un semi-western muet signé d’Alice Guy filmé aussi bien en studios qu’en extérieur.

Parce que comme son titre, le moyen-métrage d’Alice Guy raconte l’histoire d’une survivante.