Parce que Diane Kruger a eu le prix de l'interprétation à Cannes pour ce film.

Parce qu'entre science-fiction et drame intime, l'histoire navigue sans jamais hésiter à trouver sa voie...

Parce que vous ne verrez aucun film plus inventif dans l’art de l’insulte diplomatique que cette comédie politique déchaînée.

Parce que ce film oscarisé est une évocation euphorisante du théâtre et de l'époque de Shakespeare dans une profusion de décors et de costumes somptueux.

Parce que le polar de Jane Campion s'inspire autant de French Connection que de Taxi Driver.

Parce que ce mélodrame montre que dès 1912, la réalisatrice française Alice Guy utilisait des effets spéciaux.

Parce que le film de Ted Kotcheff avec Donald Pleasence est rien de moins que l'un des immenses classiques de l'épouvante.

Parce que c'est un thriller fantastique où se mêlent horreur, violence et surnaturel. Un univers qui n’est pas sans rappeler celui de Guillermo Del Toro.

Parce que le scénario est tiré du récit authentique de Madeleine Pauliac, résistante et médecin-chef à l'Hôpital français de Varsovie.

Pour le 1er prix des effets spéciaux du film asiatique en 2014

Parce que le film réunit de nombreux témoignages de victimes et permet de mieux comprendre comment Harvey Weinstein pouvait avoir une telle emprise sur son entourage.

Parce que le personnage de l'homme fort Ursus provient du très sérieux roman polonais "Quo Vadis ?" mais cette version de ses aventures est complètement fantaisiste.

Parce que Jess Franco a tourné plus de 200 films mais que celui-ci était un de ses préférés.

Parce que c’est le polar qui a complètement redéfini le cinéma hongkongais. Une pépite.

Parce qu’à partir de 40 ou 50 ans, les actrices se voient proposer de moins en moins de rôles, elles deviennent "invisibles". La réalisatrice Gracia Querejeta remédie à cela en faisant de ces femmes les héroïnes de son film.

Parce que le réalisateur Lewis Teague est un spécialiste des films d'horreur animaliers : "L'incroyable alligator", "Cujo" (le Saint-Bernard enragé de Stephen King) et le film à sketches "Cat's Eye".

Parce que c'est l'ultime réalisation de Luchino Visconti : paralysé par une attaque cérébrale, le grand cinéaste dirigea le film depuis un fauteuil roulant.

Parce que les films de mafia, on connait, mais les films de mafia québécois, pas tant que ça.